Mise à jour 11h25 : "Pour faire suite aux nombreuses réactions suscitées par la Une du Progrès "les harceleurs au piquet", Monsieur le Maire, Olivier Araujo, et Monsieur Andaloro, Adjoint aux affaires scolaires tiennent à affirmer qu'ils ne souscrivent ni à la forme ni au fond aux propos contenus dans l'article", commente la municipalité de Charly dans un communiqué envoyé aux rédactions en fin de matinée.
Depuis la rentrée des vacances d’hiver au mois de mars, l’établissement scolaire a mis en place dans la cour de récréation une zone assignée aux élèves considérés comme des "harceleurs" par l’équipe pédagogique. Six élèves de CE1 ont été concernés par le dispositif après s'en être pris à plusieurs de leurs camarades, notamment des filles.
Les parents n’avaient cependant pas été mis au courant de la mesure, rapporte le Progrès ce jeudi matin qui précise que ce coin dédié a été validé par l’inspecteur académique du secteur. "Il n’y a pas de zone d’exclusion, pas de coin où l’on mettrait à l’écart les méchants harceleurs mais une mesure de protection des enfants victimes, avec une organisation en deux espaces", se défend l’inspecteur en question dans les colonnes du journal.
La municipalité de Charly a également eu vent de la polémique qui fait beaucoup de bruit parmi les parents d’élèves. L’adjoint à l’Education de la commune doit rencontrer ce jeudi la directrice de l’école des Tilleuls.
Il faut revenir aux écoles séparées pour les filles et les garçons.
Signaler RépondreUne bonne initiative , il faut déjà séparer dès la maternelle les filles des garçons les harceleurs et débiles mentaux. Vouloir tout mélanger finit par Exploser !
Signaler Répondrebonne initiative de l’ecole, bravo. enfin une reaction au harcèlement !
Signaler Répondreet quand c est y qu on isole enfin!!les familles ,qui n ont pas les codes ,et qui font chier ,au nom du vivre ensemble ,toute une montee d escaliers de copropriete?
Signaler RépondreEnfin un peu de bon sens et de remise dans le bon ordre (on pénalise les harceleurs). Mais manifestement les promoteurs de l'inversion des valeurs ne sont pas contents. A leur yeux, ils préfèrent la méthode où c'est la victime qui doit s'isoler, et supporter les inconvénients, comme c'est souvent le cas avec les affaires de harcèlement.
Signaler RépondreDes enfants de CE1 ! Ils n’arrivent pas à gérer des enfants de 7 ans dans une cour de récréation…
Signaler RépondreIls n’ont pas trouver d’autres solutions que de les séparer du groupe. Ça ne va pas les arranger, au contraire.
Il y a d’autres solutions avant d’en arriver là !
La discipline n est pas respectée .
Signaler RépondreOu est le problème ..
A oui les juges ne sanctionnent pas c est vrai ..
Alors pourquoi l école .
Monde de l angélisme
Mais oui mettons les au pilori pendant qu'on y est, l'éducation et la prévention, surtout chez les jeunes, c'est surfait !
Signaler Répondredis donc! en parlant d'école, tu devrais peut-être y retourner vu le nombres de fautes que je vois dans ton paragraphe, aussi insipide que désobligeant.
Signaler Répondrebonne initiative
Signaler RépondreTout est bon pour polémiquer maintenant ! Si c'est gamin sont des "pestes", il est bien normal de les isoler ! Qu'ils commencent par respecter les règles et ensuite ils pourront jouer avec les autres. C'est le B.A.BA de l'éducation ! Tu respectes les autres et tu es intégré. Sinon, "va te calmer dans un coin, tu reviendras quand ça ira mieux" ! On l'a tous vécu et on en n'est pas mort. Les parents devraient au contraire faire profil bas, car si leurs gosses se retrouvent à l'écart, c'est bien pour une raison.
Signaler RépondreBen quoi, faut les habituer à l'exclusion ceux qui fichent le bordel...
Signaler Répondre