Ce mardi, la justice s’est penchée sur une affaire de violences intra-familiales qui s’était déroulée dans l’est lyonnais. En novembre 2017, une maman avait appelé les secours pour prendre en charge son enfant âgé alors de 3 mois.
D’après la requérante, le nourrisson était tombé de son transat posé sur le canapé, lui occasionnant un bras cassé. Selon Le Progrès, un cal osseux n’avait alors pas été détecté. Les stigmates d’une précédente fracture qui datait de quelques jours seulement.
Dix huit jours après, la maman s’était de nouveau présentée aux urgences pour au moins une nouvelle fracture au bras de son bébé. La mère de famille avait alors affirmé aux médecins qu’elle avait trop tiré sur les vêtements de son enfant en voulant lui enlever. Une version qui ne tenait pas la route pour les médecins.
Lors de l’audience ce mardi devant la justice, il a aussi été question des conditions psychologistes de la suspecte qui était alors en dépression dans la période des faits. La femme avait notamment été prise en charge au Vinatier. L’enfant violenté et sa sœur avaient été placés.
Deux ans de prison avec sursis probatoire ont finalement été prononcés contre la mère de famille. D’après nos confrères, cette dernière a aussi interdiction d’exercer une activité en lien avec des mineurs.
Exactement, qu’elles soit Toxiques ou sadiques les mères aujourd’hui ne sont plus les mêmes que celle du siècle dernier.
Signaler RépondreJ’aimerais pas être un enfant à notre époque. Je ne développerai pas , les réalistes savent de quoi je parle .
Signaler RépondreÀ vomir....
Signaler Répondre😱😱😱😭
Signaler RépondreSi c était le cas, il aurait eu d autres blessures depuis son placement. Ce qui n'est pas la cas
Signaler RépondreSur ce côté là, les médecins ne négligent pas cette possibilité concernant l'ostéogénèse imparfaite !
Signaler RépondreBien dit !
St bonnet de mûre est à l'est alors avant de cracher ton venin de rastek
Signaler RépondreJe doute que tu aies lu l'article.
Signaler RépondreBaby blues, 2 ans avec sursis probatoire.
Ça doit être un sacré cas de misère sociale.
Pauvre gosses, lui et sa soeur démarrent mal dans la vie.
Peut être que le petit a la maladir des os de verre ?
Signaler RépondreL'ouest lyonnais ne va pas en hôpital, mais en clinique privée.
Signaler RépondreEt les cliniques psychiatriques privées ne divulguent pas de données concernant l'origine de leurs clients...
Du sursis ? Autant dire qu'elle a été relaxé
Signaler Répondre??? "L'est Lyonnais"... vous croyez que c'est spécifique à cette zone géographique ?
Signaler RépondrePauvre petit bout de chou, avoir des parents déficients est une tragédie pour trop d'enfants
Signaler RépondreIls partent mal dans la vie, ne pas s'étonner qu'une fois adultes la violence qu'ils ont vécue se répercute, heureusement pas pour tous,
Certains arrivent à se sortir de cet engrenage.
Si elle était fragile en dépression pourquoi ne pas avoir mis en place un suivi sa l'aurais aidé et éviter ses problèmes là le médecin qui la soigne avec des cachets sais bien mais après on fait quoi elle complètement abandonne n'importe quoi
Signaler RépondreMère indigne. Pauvre petit bout.
Signaler RépondreL'est lyonnais. Pas surprenant.
Signaler RépondreBah alors je croyais que les femmes étaient parfaites ?
Signaler RépondreFaits en 2017, jugement en 2022,, 5 ans pour donner une peine de 2 ans avec sursis et interdirction de faire un travail en lien avec des mineurs,
Signaler RépondreVu qu il n y a pas réellement d enquête dans les embauches dans le secteur de l enfance, elle aura, aucun mal à bosser auprès de mineurs
Espère que si elle fait d'autres mômes, elle sera suivi par les, services sociaux.