Huit hommes âgés de 26 à 64 ans sont attendus dès ce mercredi devant la cour d’assises de Lyon. Originaires de la région lyonnaise, de Saint-Étienne et du sud de la France, ils sont accusés d’avoir participé au braquage raté d’un transport de fonds en 2017.
L’attaque s’était déroulée fin septembre 2017 à Saint-Chamond, dans le département de la Loire, voisin du Rhône. Devant la Caisse d’Épargne de la commune, le fourgon blindé avait été bloqué par les voitures des braqueurs très lourdement armés, notamment de Kalachnikovs.
D’après l’AFP, le conducteur du véhicule ciblé avait réussi à prendre la fuite malgré des coups feu tirés par les malfaiteurs encagoulés. Aucun blessé n’avait été à déplorer, le commando était reparti sans butin. Sur place, des munitions et un dispositif explosif avaient été retrouvés par les policiers.
Peu après, les enquêteurs avaient découvert des armes, des munitions et des gilets pare-balles dans un box de Saint-Étienne. Des écoutes téléphoniques avaient été décidées, ce qui avait permis aux agents d’arrêter cinq suspects en février 2018, six mois après l’assaut raté. Les policiers redoutaient une nouvelle tentative d’attaque à main armée. Les interpellés, notamment à Villeurbanne et La Mulatière, nient depuis fermement leur implication dans l’attaque du fourgon.
Les trois autres individus seront aussi jugés dans ce dossier, pour association de malfaiteurs. Le procès doit durer jusqu’au 24 juin à la cour d’Assises de Lyon.
Et les USA aussi qui font tout pour que l'UE ne fonctionne pas... et nous on leur mange dans la main...pourtant nos politiques savent bien se revendiquer de De Gaulle... Minables
Signaler RépondreLes armes arrivent
Signaler RépondreL Ukraine et la Russie vont inondés les banlieues .
Les russes veulent déstabilisés les démocratie grâce aux armes .
Ca va le faire .