Alors que le parti déplore le fort taux d’abstention et la montée en flèche de l’extrême droite, il souligne une progression des voix du PRG. Et même si elle n’a pas été suffisante, les militants considèrent que le parti a réalisé "partout sur le territoire des scores honorables."
Le parti considère "qu’aucune formation politique n’est détentrice des voix des électeurs et que chaque citoyen est libre de faire son choix en conscience". L’occasion de rappeler qu’il compte sur le fait que "les électeurs ayants choisi la gauche au 1er tour ne viendront pas grossir les rangs de la droite au 2e tour."
"Pour le 2e tour à Villeurbanne, je le redis, fidèles à notre ancrage à gauche, il n’est pas question d’apporter une seule voix à la majorité présidentielle d’Emmanuel Macron dont le centre de gravité est très nettement à droite, comme l’ont démontré ces 5 ans d’affaiblissement de nos services publics et d’inaction écologique", a affirmé Katia Buisson, candidate sur la 6e circonscription.
"Nous avons appelé nos concitoyens à refuser le faux-choix qui leur était proposé entre Macron et Mélenchon. Dans ces élections, il ne s’agissait pas de rejouer la présidentielle, mais bien d’élire des députés pour nous représenter à l’Assemblée nationale", a conclu Jean-François Auzal, candidat sur la 3e circonscription.
Une bande de lâches. Vous ne risquez pas de gagner sans conviction. Les électeurs se souviendront de votre absence de choix
Signaler RépondreLe ridicule ne paie pas.
Signaler RépondreQuand on ne représente rien, l'honneur voudrait qu'on se taise et qu'on arrête de gesticuler.