Les astrophysiciens du Laboratoire de géologie de Lyon composé du CNRS, de l’Université Lyon I et de l’ENS de Lyon participent à la mission Comet Interceptor en sélectionnant la future cible, encore inconnue, rapporte Le Progrès.
Mais ce n’est pas la seule responsabilité des Lyonnais : ils doivent également développer des modèles de comètes pour toutes les phases de la mission.
Au total, huit autres laboratoires français font partie de l’expérience.
Explorer les confins du système solaire
La mission spatiale Comet Interceptor a été adoptée mercredi dernier par les agences spatiales japonaise et européenne mais aussi par des centres de recherche européens dont le CNRS et le CNES. Elle a pour objectif d’observer une comète venue du nuage d’Oort, situé aux limites du système solaire.
Le noyau et l’environnement de la comète seront étudiés afin d’en apprendre plus sur les comètes primitives, en constante évolution et soumises au vent solaire.
Finalement, cette mission permettra de dessiner le premier profil 3D d’une comète venue d’aussi loin dans le système solaire.
La date de lancement du vaisseau composé de trois sondes spatiales est prévue pour 2029.
Bonjour
Signaler RépondreOpération comm' en parallèle du lancement du télescope "James Webb"?
Si l'on souhaite que ça marche (et accessoirement ne pas jeter l'argent par les fenètres), il faut un budget décent.
Signaler RépondreY a que ça qui intéresse les gens maintenant ? Le pognon, quel que soit le sujet ?
Signaler RépondreBudget?
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