Selon Stanislas de Gramont, directeur général, tout se passait bien jusqu'au déclenchement de la guerre en Ukraine. Ce qui a provoqué "la volatilité des devises et l'accélération de l'inflation", indique-t-il dans un communiqué de presse.
Les ventes du 1er semestre s'élèvent ainsi à 3666 millions d'euros (+1,6%) pour un résultat net de 72 millions contre 79 millions en 2021. La dette nette financière au 30 juin dernier était de 2447 millions d'euros, soit une augmentation de 597 millions sur un an.
"Les ventes sont résilientes, tirées par une excellente performance en Chine et par une solide dynamique de l'activité professionnelle. (...) Nous continuons à alimenter nos piliers de croissance : la Chine, où nous franchirons cette année les 2 milliards de chiffre d'affaires, avec de belles perspectives de développement ; le professionnel, qui nous a ouvert de nouveaux marchés porteurs et rentables : l'innovation et la digitalisation, qui constituent des fondamentaux de nos métiers", poursuit Stanislas de Gramont.
Le successeur naturel de Thierry de La Tour d'Artaise à la tête de SEB prévient que le groupe d'électroménager basé à Ecully vise désormais sur l'année "un chiffre d'affaires globablement stable et une marge opérationnelle d'activité située entre 8 et 8,5%". Et ce à cause d'une absence probable "d'amélioration sensible de la conjoncture d'ici la fin de l'année dans les pays matures".
mais encore?
Signaler Répondreune casserole
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Signaler RépondreMerci à soros,biden et le toutou que vous connaissez tous!!👍
Signaler Répondredur de faire "bouillir la marmite"
Signaler RépondreJ' aimerai comprendre pourquoi une guerre dans un pays ralentis l'activité économique mondiale (surtout qu'il y a toujours eut des pays en guerre.L' Ukraine produit donc tous et les européens rien.
Signaler RépondreJe pense que les spéculateurs se gavent et que la crise actuelle est dût au marchés financiers.(car les 197 pays reconnus produisent des produits et bien comme d'habitude).