L’entreprise a publié ce vendredi matin les résultats de ses activités au premier trimestre 2022, bien différent des dernières années. Ainsi, au 30 juin, le chiffre d'affaires s'est établi à 126,3 millions d’euros, soit un repli de -22,8% par rapport à la même période l'an passé.
Pour Olivier de la Clergerie, directeur général du Groupe LDLC, cette baisse de régime était attendue : "Comme anticipé, le 1er trimestre a été fortement impacté par la normalisation des dépenses high-tech des particuliers comme des professionnels après les hauts niveaux de consommation de la période Covid. Par ailleurs, sous l'effet des tensions inflationnistes, nos clients ont eu des comportements d'achat plus prudents, les conduisant à reporter ou à réduire leurs dépenses".
Dans le détail, "les activités B to C ont été les plus impactées par la normalisation des dépenses high-tech avec un chiffre d'affaires à 81,4 millions d’euros, en recul de -29,3% par rapport à la même période l'an passé". Les revenus des boutiques enregistrent aussi une baisse à-12,8% pour atteindre 23,7 millions d’euros, "preuve de la pertinence du modèle multi-canal du Groupe".
Concernant le B to B, "les activités ont été moins affectées" révèle LDLC, avec un chiffre d’affaires de 41,6 millions d’euros sur le 1er trimestre, contre 45,8 millions d’euros l’année dernière. Une "relative résilience qui souligne le bon positionnement du Groupe auprès des entreprises".
LDLC table sur un même contexte "jusqu'à fin septembre" avant "une nouvelle dynamique de croissance au second trimestre". Confiante, la société de Laurent de la Clergerie assure "disposer de fondamentaux solides pour se préparer à ce nouveau cycle, en s’attachant en particulier à accroitre la notoriété de la marque, à élargir le réseau de boutiques et à renforcer ses capacités logistiques avec un nouveau centre à St Quentin-Fallavier qui sera mis progressivement en service d'ici à la fin de l'année".
La clientèle qui achète chez LDLC a bien conscience qu'elle peux trouver le même produit moins cher ailleurs. Et pourtant, elle achète quand même chez LDLC. Pourquoi ? L'accompagnement, le SAV, la proximité grâce aux boutiques... LDLC n'a jamais fait la course aux prix avec Amazon, parce que LDLC est une entreprise Française qui paie ses impôts en France et pour qui il est important d'être rentable, contrairement à Amazon. Et la clientèle Amazon, qui ne cherche QUE le prix le plus bas, n'a jamais été la cible de LDLC.
Signaler RépondreEt une qualité de service de moitié inférieure chez Amazon
Signaler RépondreVa dans une agence Amazon pour te faire dépanner ou avoir des conseils on infos techniques.
Remarque pitoyable
Ils se font n*quer par Amazon, tu trouves du matos 25-30% moins cher en ligne.
Signaler Répondre