C’est à cette question qu’a voulu répondre la société namR, un "producteur de données contextuelles géolocalisées qui a pour mission de décrire le monde par la donnée", via un classement des villes en fonction de leur taux de passoires énergétiques.
Dans la région, la commune d’Etoile-sur-Rhône dans la Drôme se distingue. Elle est la zone d’Auvergne-Rhône-Alpes, sur les villes de plus de 5000 habitants, qui dispose de la plus grande proportion de logements classés A et B par les diagnostics de performance énergétique.
De l’autre côté du classement ont retrouve Clermont-Ferrand, qui avec près de 45% de logements considérés comme des passoires énergétiques, est la ville de la région disposant de la plus grande proportion de logements classés E, F et G. Chambéry, Annecy et Vénissieux suivent dans le top édité par namR. Dans la commune de la banlieue lyonnaise, un peu plus de 33% des logements seraient des passoires énergétiques.
A Lyon, la situation semble correcte, à en croire les chiffres livrés pour les 1er et 2eme arrondissements, qui arrivent en tête des zones de plus de 5000 habitants disposants du moins de passoires énergétiques en Auvergne-Rhône-Alpes.
Au total, "4,9 à 7,2 millions de logements" connaitraient d’importantes pertes d’énergie d’après namR. Et ce alors que le 4 mai dernier, un décret oblige les propriétaires de logements individuels classés F ou G à réaliser un audit des performances dès le 1er septembre 2022.
revois tes calculs... 5k euros, il faut me montrer les factures. et puis regardez bien vos factures tous, regardez ce que représente vraiment la consommation, à peine plus de la moitié. et attendez cet hiver quand il faudra donner du jus à nos chers Allemands qui voulaient se chauffer avec des panneaux solaires...
Signaler Répondreaucune réhabilitation ou investissement dans la rénovation n'est rentable sur 10 ou 15 ans. qui garde son logement autant de temps, il faudra revendre un bien qui n'aura peut-être pas augmenté...
La sommes est faramineuse pour les bailleurs...
Signaler RépondreHeureusement que j'ai plutôt investi dans du récent.
Je profite de ce commentaire pour partager avec vous des applications de gestion immobilière locatives bien pratique :
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En utilisant ces applications vous pouvez vous passer d'intermédiaire de gestion. A 10% de frais de gestion, cela permet sur 20 ans de payer une partie des rénovations énergiques !
Hier après midi, aux Halles Paul Bocuse de Lyon, les portes d'entrées, côté cours Lafayette, grandes ouvertes, avec la climatisation, à fond, à l'intérieur des Halles ?
Signaler RépondreCherchez l'erreur....
Un retour aux cours de calcul, comme appelait ça en primaire, au millénaire dernier, il semble évident pour certains qu'il vaut mieux balancer son pognon pour chauffer le ciel plutôt que d'isoler. En gros balancer 5 000 euros par an pour se chauffer, c'est nettement mieux que d'investir 20 000 sur 4 ou 5 ans. Vous pouvez nous expliquer, braves gens ?
Signaler RépondreEncore et toujours des études "hors sol".
Signaler RépondreLe travail de ces gens a consisté à collecter des données sur les classements des logements dont le diagnostic a été fait (vente, location).
Bref tous les logements non mis sur le marché ne sont pas pris en compte.
Comme tien ne précise sur quelle durée ils ont fait l'étude on ne sait pas non plus quel est la taille de l'échantillon
Pour la location la méthode de diagnostic a été refondue complètement l'an dernier afin d'être plus "fiable" qu'un simple recueil des factures dans la méthode précédente.
Je ne peux m'empêcher de recopier le site de namR :
"NamR est une startup de la deeptech spécialisée dans la transition énergétique via la collecte de données, afin de permettre la caractérisation quantitative et qualitative de bâtiments, territoires et environnement."
Bref tout est dit : ce n'est pas avec cela que l'on va avancer dans la réduction du nombre de passoires thermiques
C'est exactement ça, les problèmes d'écologie se règlent avec des taxes. Les écolos sont persuadés que ce sont les taxes qui vont sauver notre environnement.
Signaler RépondreT'as vu le niveau des écolos !
Y'a pas moyen d’élire des gens qui ne nous casseront plus les bonbons avec toutes ces mesures inutiles qui ciblent uniquement le citoyen et jamais les grosses industries extrêmement polluantes?
Signaler RépondreJ'aimerais qu'on m'explique comment les bailleurs vont trouver les sommes faramineuses pour la mise aux normes des logements.
Signaler RépondreOn manque déjà de logements en France et le gouvernement veut en retirer du marché.
L'échéance n'est absolument pas tenable c'est une évidence
Etonnant que dans les 1er et 2e arrondissements il y ait peu de passoires énergétiques alors qu'il s'agit majoritairement de logements anciens, très mal isolés thermiquement à la base (simples vitrages, mur épais mais sans isolant).
Signaler RépondreSi mes infos sont exactes, il existerait une cartographie immeuble par immeuble de leurs déperditions énergétiques, et ce qui se trame c'est une taxe sur l'isolation thermique... plus votre habitation sera mal isolée, plus vous payerez, en plus déjà de payer davantage d'énergie pour le chauffer l'hiver. Sous prétexte d'écologie.
Il est toujours possible d'améliorer l'isolation thermique d'un logement, mais pour être efficace c'est assez complexe et coûteux. Un simple changement de fenêtres ne suffit pas.
Enjeux majeur de la décennie à venir.
Signaler RépondreIsolation, et réduction de la consommation d’énergie du logement. Mais également changer les habitudes, mais pour cela, le porte monnaie va s'en charger. Sauf pour ceux qui sont subventionnés par le travail des autres .....