Alors qu’il roulait à Saint-Priest avec l’inspectrice à ses côtés et l’accompagnateur derrière, le jeune Villeurbannais a progressivement adopté un comportement agressif face aux remarques qui lui étaient faites.
Selon l’UNSA-SANEER, il a plusieurs fois frappé son volant avant de mettre des grands coups de frein pour effrayer l’inspectrice. Cette dernière a mis fin à l’examen et a décidé de porter plainte.
Première conséquence de cet incident : les examinateurs du permis de conduire ont décidé dans la foulée de débrayer pour soutenir leur collègue. Ce qui a entraîné l’annulation du passage d’une centaine de permis dans le Rhône.
Seconde réaction : la préfecture du Rhône a communiqué et a décidé d’apporter son soutien à l’inspectrice. Dans un communiqué, elle révèle qu’en plus de la plainte, un signalement au procureur de la République au titre de l’article 40 du code de procédure pénal a été fait. "L’auteur de cette agression inacceptable à l’égard d’un agent de l’Etat dans l’exercice de ses fonctions fera l’objet d’une sanction administrative d’interdiction temporaire de se présenter à l’examen du permis de conduire", conclut le préfet.
bravo grace à un cretin beaucoup d’ autre sont sanctiones pas nomal soyons severre avec les coupables on ne peut pas dire qu’on ne les connait pas on a tout sur lui
Signaler Répondreje le vois bien dans une entreprise avec des chefs et des collègues.Il serait viré en deux temps trois mouvements,vu qu'il ne supporterait pas les codes.Je le vois bien ,aussi,en couple.La pauvre femme,je la plains!Si on ne se remet pas en question,autant vivre au fond d'une forêt.
Signaler RépondreY a une racaille qui tremble à l'idée d'être sévèrement condamné par la justice...
Signaler RépondreBien entendu que la totalité des fonctionnaires d'état ayant à faire au grand public doivent être préservés coûte qu coûte, quand un citoyen se comporte de façon inadaptée avec eux.
Signaler RépondreBien plus encore, devrions-nous remettre au centre des obligations de chacun, les conséquences de la porté de nos actes, avec une application beaucoup plus stricte du code pénal, c'est à dire, en appliquant de façon quasi automatisée, l'application d'une peine, de façon quasi immédiate, comme cela est pratiqué dans certaines nations.
Tout adulte qui se comporte de façon inadéquate avec un agent de l'état (Hôpitaux, environnement scolaire, espace public, ...) doit être sanctionné, sans préambule, sans délai, de façon proportionnée à ses actes, mais dans la quasi immédiateté du mauvais comportement ou de l'acte posant problème.
Pourquoi devoir en arriver là ?
Parce que déjà, beaucoup d'agents de l'état, en frontal avec le grand public, ne souhaitent plus continuer à exercer leurs fonctions, à force d"épuisement, de mauvais comportements, avec cette perception que tout se délite.
Pourquoi la raréfaction en entrée de concours pour devenir enseignant ?
Pourquoi un nombre important d'enseignants en poste font tout ce qu'ils peuvent pour quitter l'institution ?
Que dire de l'exode des soignants aux sein de nos hôpitaux ?
Réalisons-nous qu'à force de fouler du pied la bête, qu'elle va finir par ne plus se relever ?
Sommes-nous lucide de ce qui se passe, dans cette partie très exposée, des fonctionnaires d'état exposée au grand public et à tous les débordements de ce grand public devenu très mal élevé, avec des comportements qui font plus que poser question ?
Allons-nous observer placidement, le départ et démobilisation des fonctionnaires d'état en frontal de ce grand public qui respecte de moins en moins bien, ceux là même qui le servent ?
Une femme qui lui a fait des remarques sur sa (enfin ses...) conduite, quelle honte pour lui !
Signaler RépondreOn devine quel est ce type de personnage agressif par nature...