Le constat réalisé par la médecine du travail concernant Julie Hainaut est sans appel.
Médiacités et Arrêt sur Images ont révélé que la journaliste cyberharcelée suite à la publication d'un article sur l'ouverture de La Première Plantation, un bar à la décoration colonialiste, avait été abandonnée par son employeur Le Petit Bulletin. Un membre de l'ultradroite avait d'ailleurs été identifié et jugé.
Le média culturel lyonnais a depuis fait l'objet d'un rapport salé de l'Inspection du travail, saisie par Julie Hainaut.
Pour l'inspectrice, il y a eu un "manquement à l’obligation d’assurer la santé physique et mentale des salariés". En plus de ne pas avoir suffisamment encadré et soutenu la journaliste qui récoltait des messages d'insultes, de menaces de mort ou de viol sur les réseaux sociaux, le Petit Bulletin ne l'a pas non plus orientée vers la médecine du travail.
Ce n'est que cet été que Julie Hainaut, suite à la visite de l'Inspection du travail, a pu bénéficier d'une consultation au diagnostic relaté plus haut.
Enfin, nos confrères révèlent le Petit Bulletin, qui avait bénéficié d'une subvention très importante de 100 000 euros de la Ville de Lyon en 2020 sur impulsion de l'adjointe à la Culture Nathalie Perrin-Gilbert, aurait fraudé le chômage partiel. Julie Hainaut n'a plus écrit d'article pour le média depuis octobre 2020. Pourtant, en mai, juin et juillet de l'année suivante, elle était toujours déclarée par l'employeur au titre du chômage partiel.
Non.
Signaler Répondre"Enfin, nos confrères révèlent le Petit Bulletin, qui avait bénéficié d'une subvention très importante de 100 000 euros de la Ville de Lyon en 2020 sur impulsion de l'adjointe à la Culture Nathalie Perrin-Gilbert".
Signaler RépondreSi il avait fallu apporter la preuve du manque de discernement objectif de Madame Nathalie Perrin-Gilbert, nommée (parachutée) adjointe à la culture, c'est fait. 100 000 Euros c'est de l'argent de nos impôts, pour du PAPIER, à l'heure du numérique, et de surcroit sous une mandature EELV, franchement il y a de quoi se marrer.
Quand le bureau Kulture des camarades de la pieuvre municipale se fait reprendre en directe .
Signaler RépondreLénine réveille toi , ils sont devenus mous ....tres mous .
Elu .e s depuis moins de 3 ans et deja repris par la justice ? ils ne sont pas en retard de partout nos eccocos lolos
Et quand ces journalistes harcellent?
Signaler RépondreLa bobocratie dans toute sa splendeure avec ces bouffons de vers.
Signaler RépondreManquements aux obligations professionnelles en termes de santé (sans même parler de solidarité élémentaire face à la violence personnelle et politique) + fraude au chômage partiel , le comble : on l’abandonne mais on continue de gratter des thunes en son nom !!
Signaler RépondreJe sais pas pourquoi mais ça m’étonne pas de la part d’une équipe qui produit des articles complètement superficiels écrits avec les pieds, qui se la pète de gôche (fil.le.s à papa rebêêêêlles) et soutiennent les gogolitos orgznisateurs de Covid-parties quand les hôpitaux sont au bord du gouffre…
Merci Mme Perrin-Gilbert de faire passer cette lessive pour de la culture, de prendre les Lyonnais pour des abrutis et de distribuer leurs impôts pour vous assurer le soutien de la jeunesse dorée sans conscience
Pas mal la mafia EELV, elle achete à coup d'énormes subventions un organe de propagande et le faire continuer à fonctionner malgré le COVID et en même temps elle leur fait toucher le chômage partiel en raison d'un pseudo arrêt d'activité lié au COVID.
Signaler RépondreDe quoi une fois de plus être dégoûtée des pastèques.
Les copains c’est ceux qui partagent le pain, mais pas que!!!
Signaler Répondre"cyberharcelé"
Signaler RépondreEst-ce encore un nouveau terme pour les gens qui expriment leurs opinions contradictoires sur internet ?