"Il a été rappelé que, conformément à sa tradition constitutionnelle, la France n’extrade pas ses nationaux." a expliqué La Chancellerie.
Pour rappel, le prêtre Joannes Rivoire est accusé depuis plusieurs années d’agressions sexuelles sur plusieurs Inuits dans les années 1960 notamment. Et le Canada avait fait une demande d’extradition visant le prêtre au début du mois d’août, pour qu’il soit jugé sur place.
Si cette demande a été refusée, la France indique se tenir prête "à répondre à toute demande d’entraide judiciaire que lui formulerait le Canada ou, le cas échéant, à agir dans le cadre d’une dénonciation des faits qui lui serait formulée, sous réserve néanmoins d’examiner l’éventuelle prescription des faits".
Le père Rivoire avait fait l’objet d’un premier mandat d’arrêt entre 1998 et 2017 pour agressions sexuelles sur 3 mineurs. Après une nouvelle plainte déposée en septembre 2021, également pour une agression sexuelle, un deuxième mandat d’arrêt au Canada avait été émis contre lui en février.
Aujourd’hui, le père Rivoire, âgé de 92 ans, est résidant d’un EHPAD à Lyon.
Une conférence de presse du groupement Nunavut Tunngavik se tiendra jeudi à 10h30 au Club de la presse de Lyon.
Et notons qu'aucun mot sur les médias nationaux...
Signaler RépondreHonte à ce pays, à cette personne, et à cette religion.
Signaler RépondreUne honte tout simplement et quand la France demande l'extradition d'une personne et qu'ont lui refuse elle (la France)crie au scandale surtout pour un pédophile
Signaler RépondreLa France fille ainée de l'église, se couvre de honte en voulant protéger ce suppôt, qui devait normalement être au dessus de toutes pensées et actes de malveillances.
Signaler RépondreL'église c'est tout ce qui reste du déclin de l'empire romain.
Bah c'était évident que ça allait finir comme ça, à moins que la démarche était de l'enlever ou se venger sur place, ils auraient pu le savoir de chez eux en allant simplement sur internet. Du coup peut être qu'il y'aura un nouveau chapitre à ce fait divers...
Signaler RépondreGrâce à la complicité de la justice,il échappe aux poursuites
Signaler Répondre« sous réserve néanmoins d’examiner l’éventuelle prescription des faits » les crimes qu’ils soient sexuels ou pas ne devraient jamais bénéficier d’une prescription. Il faut que ces criminels vivent avec l’épée de Damocles et sachent qu’un jour ou l’autre ils seront jugés et condamnés. Les victimes prennent perpétuité, encore une fois la priorité est donnée aux ordures.
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