Magistrate, ingénieure ou encore dermatologue. Telles étaient les professions exercées en Ukraine par ces cinq femmes âgées de 17 à 41 ans jusqu’à ce que la guerre vienne tout bouleverser en février dernier.
Ces cinq réfugiées se trouvent aujourd’hui en France où elles viennent d’apprendre le métier de prothésiste ongulaire grâce à la formation offerte par Yelena Chenet, une Ukrainienne de 47 ans installée en France il y a une vingtaine d’années.
"Je me suis mise à leur place. C’est mon peuple", explique-t-elle. "Ce n’est pas juste offrir une formation mais... (Lire la suite sur Lyon Femmes)
Exactement. Avant je bossais très dur. Aujourd’hui, je ne fais Plus rien au travail et je suis bien vue et même augmenter, c’est pour dire. Les seules contraintes ? J’arrive a l’heure et je par à l’heure , mais je ne fais RIEN 😜.
Signaler Répondreavec de tels bagages,qu est ce qu elles viennent donc foutre à se recycler chez les "ongulés"?
Signaler RépondreDiplomate, ingénieure, dermatologue..... VRAIMENT ?
Signaler RépondreLa population française est complétement anesthésiées et ne sait plus faire ni la part des choses, ni avoir un tant soit peu de reflexion et de logique.
Signaler RépondreCe n'est pas parce que le pouvoir politique dit quelque chose qu'il faut tout gober....
REFLECHISSEZ !
Voilà. La France a tout compris encore une fois. La main d'oeuvre qualifiée devient peu qualifiée. Et on donne tout à ceux qui ne glandent rien.
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