Le service d'autopartage comptait réussir là où beaucoup, à commencer par Vincent Bolloré et sa Bluely, avaient échoué.
Pour la première année de déploiement de 300 véhicules écoresponsables en free-floating, la société niçoise se dit plutôt satisfaite : "utilisateurs au rendez-vous, de bons résultats d'exploitation, une clientèle fidèle, des trajets sur de plus longues distances et un périmètre qui s'agrandit", résume-t-elle dans un communiqué de presse ce jeudi.
Leo&Go! serait ainsi utilisé par 10 000 personnes dans l'agglomération. Le service a été étendu à d'autres communes comme Caluire-et-Cuire et Ecully, en plus de Lyon et Villeurbanne.
Pour Vincent Frey, directeur de Leo&Go!, "ces nouvelles zones permettront aux résidents, étudiants et professionnels de réaliser de nouveaux types de trajets entre communes de la Métropole (d’Écully à Villeurbanne ou au sud de Lyon par exemple), ou vers l’aéroport/gare TGV Saint Exupéry. Elles sont le fruit d’un travail collaboratif avec les équipes municipales de Caluire et Écully. Nous poursuivons cette démarche avec d’autres communes de la Métropole, pour renforcer l’accessibilité à Leo&Go sur le territoire métropolitain".
Leo&Go annonce par ailleurs une "stabilité des tarifs". Il faut compter un euro pour débloquer la voiture puis 30 centimes par minute d'utilisation.
Beaucoup de gens ont revendus leurs voitures et se servent donc de ces véhicules pour effectuer leurs courses ou autre le week end.
Signaler Répondrepas d'assurances, pas de places de parking etc.. il y a pas mal d'avantages.
1 euro au départ puis 30 centimes la minute, ça reste tout de même très cher lorsque l'on utilise, comme moi, sa voiture uniquement le week-end pour partir à la campagne.
Signaler RépondreCe type de service reste donc réservé à une utilisation "urbaine", mais sachant que la voiture n'est plus la bienvenue à Lyon, je ne comprend pas trop l'intérêt.