A partir du 1er octobre, les repas de la cuisine centrale pour les crèches municipales de Villeurbanne ne seront plus conditionnés avec du plastique jetable, mais dans des bacs en inox.
Cette mesure rentre dans le cadre de la loi Egalim, qui impose la suppression de l’usage du plastique au 1er janvier 2025.
La Ville avait créé en avril 2021, un groupe de travail composé de parents d’élèves, de membres du collectif Cantines Sans Plastique, de représentants des différents métiers de la restauration scolaire et de deux chercheurs de l’ISARA (école d’ingénieurs agronomes de Lyon). "Ce groupe avait pour objectif de réaliser des recommandations à la Ville en intégrant une vision globale de la chaîne de production des repas" explique la mairie dans son communiqué.
Ce groupe de travail a préconisé "de maintenir une veille sur la recherche, tout en engageant le processus de transition vers des contenants réutilisables, le choix de l’inox étant privilégié car moins contraignant que le verre ou la céramique en termes de conditions de travail".
Dès le 1er octobre, ce sont donc 14 structures municipales, 12 crèches et 2 haltes-garderies, soit 500 repas par jour, qui bénéficieront de cette décision. Mais à terme, "la Ville ambitionne de déployer cette pratique en septembre 2024 pour l’ensemble des écoles de la commune ce qui représente 8000 couverts par jour" termine la municipalité.
Ça enlève tout l'intérêt de ces opercules qui garantissent l'hygiène...
Signaler Répondrec est un leurre le plastique ne se recycle pas il est brulé (il sert même de combustible) ou balancé dans la nature
Signaler RépondreVous avez absolument raison !
Signaler RépondreC'est pas trop tôt, excellente initiative... le problème du plastique est qu'il ne se décompose pas, le recycler reste la meilleur solution,mais en aucun cas l'utiliser pour produire des sets de table jetables .Cela reste quand même un excellent matériel inévitable pour fabrication de produits durables de par ses caractèristiques CQFD .
Signaler RépondreC’est faux . A une époque , les hôpitaux étaient moins infectés de maladies 🦠 car les effectifs étaient supérieurs à aujourd’hui et le personnels faisaient réellement son travail . Aujourd’hui, tout est jetable , le personnel a disparu, le ménage et sous traité et re sous traité par des fainéants qui ne regardent pas la santé Mais que l’argent . Par contre avec 7 directeurs , 4 sous sous direction et des improductifs à tous les étages ils ne reste que les sept Nain pour faire tous le boulot à moindre coût 💲. Alors ont a la société que l’ont mérite Une 💩 qui infecte toutes les institutions de France 🇫🇷 et arrive about de souffle .
Signaler RépondreJ’ai connus l’époque où j’achetais les bouteilles en verres , pour le lait , le Coca-Cola , le vin etc …. Des bouteilles consignées qui ne traînaient jamais longtemps dans les rues , car elles elles valaient de l’argent . Les industriels effectivement ont remplacé le verre par le plastique qui n’a est pas forcément plus cher que le verre avec le temps . Mais ses plastiques ont eut le temps pendant des décennies de pollué notre planète nos océans. Le verre appartient désormais aux multinationales ´ VEOLIÀ ´ et autres escrocs qui récoltent le verre par le bénévolat de 30/100 de la population. Les autres préfèrent le mettre ailleurs, casser, etc … car, ils n’ont RIEN à y gagner , sinon une perte de temps . Alors , que c’était SI facile a l’époque de faire payer le consommateur pour qu’il vous ramène à 98/100 leur bouteilles de verres vides . Donner le l’argent aux Citoyens c’est les responsabiliser , le bénévolat n’est qu’une FUMISTERIE mensongère . Même pour les donneurs de sangs , si ils étaient rémunérés et NON QUE les récoltant qui revendent leur sangs sur leur dos . Les réserves seraient énormes. Les vampires de la finances ont tout pris aux français, ils commencent à se rendre comptes que tout à une fin , même leur appétit démesuré, ne peut continuer sans les bénévoles stupides qu’ils escroquent depuis longtemps.
Signaler RépondreL'avantage du jetable, c'est que l'hygiène des plats était garantie.
Signaler RépondreA présent, cela se renverra la balle pour savoir qui devra gratter les plats entre l'école et la cuisine centrale, ayant été des deux côtés, où chacun prétendait que c'était à l'autre de nettoyer correctement...
Mais bon, une nouvelle couche de bouffe dessus et on n'y voit que du feu.
On s'en fout, interdire encore et toujours, n'importe quoi
Signaler RépondreBien vue . Si , ils n’étaient pas si Corrompus en politique, ils auraient OBLIGÉ les industriels à interdire le plastique par du verre consigné. Mais comme nous vivons dans une raie publique bananière, c’est toujours les plus modestes qui payent la facture.
Signaler RépondreIl n’y a pas de Problème ! Il n’y a QUE des solutions. Mais faut-il avoir le COURAGE, qualité qui manque à énormément de nos concitoyens et tous nos politiciens véreux .
Et le trafic de drogues devant l'école de musique à Villeurbanne ils comptent le supprimer aussi ? C'est pas prévu ?
Signaler RépondreQuel en est le coût supplémentaire pour le contribuable et pour l'usager ?
Signaler RépondreHilarant. Un vrai clown.
Signaler RépondreBientôt on va leur jeter à même la table la nourriture, et ils vont devoir manger leur steak de soja avec les mains ;-)
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