C’était le 3 février 2021. "Je suis à ce moment-là dans un supermarché. Il est 17h45. Cela fait plusieurs semaines que je vois à la télévision les images des étudiants qui font la queue dans les distributions alimentaires. La France découvre à ce moment-là la génération sacrifiée de la crise sanitaire", se souvient cette mère de famille et cheffe d’entreprise. "En allant à la caisse, je croise dans un rayon une étudiante en train de calculer ses courses avec son téléphone portable. Je la vois reposer son paquet de sucre… Je regrette par la suite de ne pas lui avoir proposé discrètement de payer ses courses", poursuit Marion Dolisy-Galzy.
L’idée de "1 cabas pour 1 étudiant" s’invite dans l’esprit de la Lyonnaise qui ne s’imagine pas avec Anne Wuattier, son amie et co-fondatrice de la plateforme, le... (Lire la suite sur Lyon Femmes)
Ils doivent se concentrer sur leurs etudes et on ne doit pas les voir faire la fête dans les café et pubs dès les jeudis soirs secteurs des universités...
Signaler RépondreJ'ai commence à travailler à 16 ans car je n'avais pas les moyens de faire autrement. Et les études que je souhaitais, je les ai faites en cours du soir pendant 3 ans, après le travail. Et ce genre de cours, et aussi par correspondance, existent toujours. Il faut juste un peu de courage pendant quelques temps .
Signaler RépondreLa légion d'honneur pour cette femme méritante et altruiste.
Signaler RépondreParfois ils sont même irespectueux, faisant du bruit sans se préoccuper du voisinage.
Signaler RépondreJ'en ai dans mon immeuble et quand on demande de la modération on se fait traiter de tous les noms d'oiseaux.
Dans mon immeuble il y a pas mal d'étudiants presque tous les jours ils se font livrer des pizzas etc et c'est vrai ils sont souvent au terrasses de café on parle rarement des personnes âgées qui ont une toute petite retraite en ayant travailler toute leur vie .
Signaler RépondreBien sur qu'il faut s'en occuper. Ce que je voulais dire c'est que les étudiants qui rient ne s'occupent gère de ceux qui pleurent la misère et ne font pas montre d'une grande solidarité.
Signaler RépondreIl faut remettre un peu d'ordre dans votre propos si vous voulez etre juste :
Signaler RépondreLa population étudiante attablée aux terrasses des cafés se porte bien mais elle n'est pas forcément majoritaire .
Et quand bien même si cela était le cas , rien n interdit de s'occuper des étudiants qui "n'ont pas le sou ".
il y en a ...mais effectivement on ne les voit pas -et c est rassurant n'est ce pas ?
hein ?
Je suis pour la solidarité et je suis content de payer des impôts pour permettre cela même si parfois c'est gonflant de voir la gabegie qui est faite à divers niveaux par nos élus.
Signaler RépondreIl y a surement des étudiants qui tirent le diable par la queue, mais lorsque je vois quelle population est attablée aux terrasses des cafés ou s'adonne à des beuveries à divers endroits de notre ville, je me dis que la majorité des étidiants se porte bien mieux que moi qui limite mes sorties.