Les agents sont en grève pour obtenir des garanties quant à la continuité de leurs contrats de travail et de leur maintien sur le site.
Lors de cet échange, la Métropole "a rappelé le cadre connu dans lequel s’inscrit sa décision de renouveler le marché de nettoyage du CELP (Centre d’Échanges de Lyon Perrache) sous la forme d’une procédure réservée à une structure d’insertion par l’activité économique".
A la vue du manque d’hygiène et de salubrité publique, "la Métropole a demandé à l’entreprise Arc-en-Ciel la mise en place d’un service minimum" est-il écrit dans le communiqué.
Mais ce jeudi après-midi, elle "n’a pas reçu de confirmation de mise en œuvre effective" de ce service minimum.
on a pas vu de difference
Signaler RépondreTu ne vas quand même pas gâcher toutes ces chances pour la France ! Ce serait du gaspillage, et en temps de guerre, on ne peu pas se le permettre !
Signaler RépondreCette gare routière est un dépotoir, le nettoyage est insatisfaisant. Certains des agents de propreté sont souvent à promener le chariot plutôt que de balayer, à fumer sur le mail qui conduit à la gare où à bavarder avec la ' faune " qui stationne à longueur de journée dans la gare. Il faut admettre aussi le manque d'hygiène des toilettes, mais aussi celle des usagers qui végètent dans le premier étage, couchée à même le sol, qui urinent dans les parkings, voire dans les ascenseurs. C'est dans cet endroit, dans la gare routière qu'il faudrait des effectifs de police pour endiguer cette faune.
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