L’expérimentation des urinoirs inclusifs a pris fin le 26 septembre dernier avec au bout la disparition progressive de ces installations qui avaient beaucoup fait parler, notamment celles sur la place Louis Pradel inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Ces toilettes publiques, mises en place par la Métropole de Lyon et la Ville de Lyon, ont aujourd’hui complètement disparu à l’issue de ce test ayant duré six mois. Ce sont 362 500 utilisateurs qui ont utilisé ces urinoirs inclusifs pour une économie d’eau de 435 000 litres. "Suite à une enquête des usagers de 3 semaines, 94% des répondants sont satisfaits des emplacements actuels des sanitaires et la quasi-totalité jugent l'état de propreté très bon. Les dégradations qui ont pu avoir lieu étaient rapidement réparées par notre prestataire", avait déclaré sur Twitter Bruno Bernard.
"Cette expérimentation souligne la demande de sanitaires et de la nécessité de concilier contraintes urbanistiques, inclusivités & écologie dans les solutions proposées. Loin des polémiques, il y a un besoin sanitaire. Nous allons travailler avec ces résultats pour y répondre", avait ajouté le président de la Métropole de Lyon sans donner plus de précisions sur la suite de ce projet dont le financement s’élevait à 140 000 euros.
oui , ils vont expérimenter un système de toilettes sèches pour économiser l'eau
Signaler RépondreBravo monsieur le maire Doucet, 190000 euros pour ça ? on tire la chasse et tout disparaît.. quel gaspillage.
Signaler Répondreévidement bien sur cette initiative escrologique une reussite totale... on peut faire confiance aux escrologistes et a Bernard lorsqu'ils affirment ça ...
Signaler RépondreJ’espère que ces urinoirs disparaîtront définitivement de notre place Louis Pradel.
Signaler Répondreétonnant
Signaler Répondreje passe souvent place pradel mais je n'ai JAMAIS vu quelqu'un se servir de ces urinoirs
QUELLE GROSSE CONNERIE ça puait de partout vraiment dégueulasse, une honte ces chiottes publiques pire que ceux d'autrefois gaspiller de l'argent pour voir ça!!!!!!!!!!!!!!!!
Signaler Répondre140000 euros ,quel énorme gâchis !
Signaler RépondreLe prix d'un festin dans un château....
Sérieusement, ces incompétents seront ils un jour capables de comprendre que les lyonnais en ont raz le bol de leurs expérimentations minables ?
Signaler RépondreDe l'argent complétement gâchée
Signaler RépondreQuel camouflet. On a une mairie qui essaie de réinventer les toilettes alors que le problème de saleté est structurel à Lyon, au lieu de faire dans l'efficace qui a fait ses preuves on fait des expérimentations débiles. Si la ville était plus propre, on aurait moins de gens pour la souiller (théorie de la vitre cassée ).
Signaler RépondreJe suis entièrement d'accord.
Signaler RépondreJe trouvais choquant ces gens s'arrêtant sur la bande d'arrêt d'urgence pour uriner.
Il me semble qu'il serait pertinent d'installer une pissotière à côté de chaque borne d'appel.
il nous prends vraiment pour des buses le géant vert !!
Signaler Répondreles pissotières et les pistes cyclables, sont leurs seules préocupations, à base, bien évidement, de plein de jolis chiffres et de pourcentages !!!
pour le concret, et l'utile on verra plus tard !!
Tous les électeurs , même ceux qui n'ont pas votés pour vous , pissent tous les jours même plusieurs fois par jour,
Signaler RépondreUne solution rapide que vous aimez bien , serait d'indiquer à la peinture les zones où l'on peut pisser contre les murs
En attendant , vous oublié les dames et les enfants, l'hygiène et la propreté de cette ville, et le bien être de ses vrais habitants se semble pas être votre préoccupation première
Ces éco-WC sensible aux genres ont été un véritable succès. L'apaisement est revenu dans la ville.
Signaler RépondreNous allons réfléchir à poser de nouveaux WC sur les voies de circulations routières afin d'accélérer l'apaisement
"Loin des polémiques, il y a un besoin sanitaire. Nous allons travailler avec ces résultats pour y répondre"
Signaler RépondreCa promet !!!....
Il aurait été surprenant que Bruno BERNARD n'affirme pas que 94% des répondants sont satisfaits des emplacements actuels des sanitaires et la quasi-totalité jugent l'état de propreté très bon.
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