La résistance au feu n’est plus assez élevée et l’eau s’infiltre dans l’immeuble. Les 16 000 étudiants sont accueillis dans des salles de l’hippodrome de Parilly le temps que le bâtiment disparaisse. Dans l’immeuble de 4000 m², deux amphithéâtres ont été condamnés et les étudiants ne peuvent plus y accéder depuis septembre. Pour rénover le bâtiment, le coût serait bien trop élevé et cela reviendrait moins cher d’en construire un nouveau.
Mais l’université n’a pas les moyens actuellement de démolir et de reconstruire le bâtiment. Le coût des travaux s’élèverait aux alentours de 30 millions d’euros selon Le Progrès. Malgré tout, 1600 m² de locaux préfabriqués devraient voir le jour pour la rentrée de 2023.
Il s'agit des bâtiments datant de 1973, en béton et ferraille dont les poutres métalliques sont rouillées et pourries et le béton plus du tout étanche... C'est moche et mal construit depuis le début et aujourd'hui, c'est devenu une ruine en sursis.
Signaler RépondreOu de le raser, car c'est complètement pourri et déglingué depuis des années.
Signaler RépondreGriezmann non loin à l'hippodrome de Parilly aurait de quoi financer...
Signaler RépondrePas d'argent?
Signaler RépondrePourtant ils avaient inauguré une salle flambant neuve, moquettes rouges et une vingtaine de Mac voir plus il n'y a pas si longtemps?
Après ils écrivent des insanités contre Manu sur les murs..
Ce campus date de 1973, soit bientot 50 ans, il serait temps de le rénover.
Signaler RépondreL'Université Lyon 2 ne sait pas gérer un budget d'investissement. Des sommes très importantes sont données par l'état pour le foncier des universités, sans que celle-ci ne mandatent un responsable qualifié de la gestion du parc immobilier. C'est principalement le cas de Lyon 2, qui dépense des sommes invraisemblables sans s'inquiéter de la justification des travaux (les exemples sont multiples, sur le quai comme à Bron). La construction du campus de Parilly procède de ce principe. L'université sait dépenser, elle ne sait pas investir dans les capacités élémentaires de gestion de son patrimoine.
Signaler RépondreJ'étudie actuellement à la Doua (côté ouest, université Lyon 1) et ça dépend vraiment des bâtiments : certains sont rénovés et très agréables, d'autres font vraiment peur (le bâtiment Grignard...). Mais globalement le campus est plutôt bien conçu, pas comme le campus Porte des Alpes
Signaler RépondrePas mieux, la même daube, et pleine d'amiante.
Signaler RépondreCa s'appelle du putaclic.
Signaler RépondreQUID du campus de la Doua?
Signaler RépondreBon rappel. Les conditions matériels ont toujours été désastreuses, sauf je pense les bâtiments qui ont été rajoutés.
Signaler RépondreC'était devenu glauque je trouvais quand j'étais étudiant là-bas, il y a longtemps.
Juste par curiosité, vous avez testé les cours par distance pendants le covid dans un 20m2 ? (Ne comparons pas avec le télétravail SVP)
Signaler RépondreLa photo de l'université du quai Claude Bernard, inappropriée, m'a fait très peur, car tout est possible aujourd'hui, même l'inimaginable. Quant au campus de Bron, il a toujours été lamentable à tout point de vue, dès l'origine : cheminements incommodes, locaux froids l'hiver, chauds au printemps, les examens ayant souvent lieu dans des conditions torrides, au détriment des étudiants. La qualité de la construction faisait que mes étudiants pouvaient suivre trois cours à la fois : les miens et ceux qui étaient dispensés dans les salles voisines…
Signaler RépondreCette gabegie vieille de cinquante ans résultait d'une position purement idéologique. Les mauvais esprits remarqueront que l'Ecole Normale Supérieure n'a pas été localisée en banlieue lors de son transfert à Lyon…
La photo est trompeuse.
Signaler RépondreElle montre un bâtiment sur les quai du Rhône alors que l'article parle du campus de Bron.
Campus construit au rabais dans les années 70.
ils veulent raser le passé pour mieux formater les esprits?
Signaler RépondreLe principe devrait être que lorsqu'on est incapable de reconstruire un bâtiment en le faisant aussi beau architecturalement et complexe que celui qu'il y a, on n'y touche pas, on répare. Si c'est le bâtiment en illustration qui est concerné, il y a urgence de le faire classer et d'obtenir des financements de l'état, mais surtout ne pas le démolir. Il faudrait qu'un collectif associatif de sauvegarde se constitue pour protéger ce patrimoine, comme ce qui avait été fait du temps de Pradel, lorsqu'il avait voulu détruire le vieux Lyon pour y faire passer une autoroute.
Signaler RépondreIl est temps de passer à la vitesse supérieure en terme d'enseignement en généralisant le distanciel pour faire des économies pour les cours qui peuvent se faire à distance.
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