C'est ce que réclame la chambre régionale des comptes dans le cadre de la loi Montagne. Mais ça, les élus de la ville ainsi que les parlementaires savoyards ne l'acceptent pas.
Si cette remise à plat des tarifs permettrait une égalité de traitement entre les usagers, qu'ils soient "gens du pays" ou touristes, la Plagne refuse de courber l'échine.
Des négociations sont en cours avec la préfecture de Savoie pour trouver un terrain d'entente.