Le maire de Grenoble n'avait pas été inquiété par le tribunal judiciaire de Valence le 25 octobre dernier dans le cadre de l'affaire de la Fête des Tuiles. D'ailleurs, l'ensemble des six prévenus avaient été relaxés par la justice drômoise.
Des soupçons de favoritisme planaient sur l'attribution du marché public de la Ville de Grenoble pour l'organisation de la Fête des Tuiles en 2015 et 2016. L'association Fusées, proche des écologistes, avait obtenu le marché à deux reprises dans des conditions jugées douteuses par le parquet, qui avait été alerté par la Chambre régionale des comptes.
Le procureur n'avait à l'époque requis aucune peine à l'encontre de l'édile écologiste et à celle de l'ancien DGS de la Ville de Grenoble, estimant n'avoir aucune certitude qu'Eric Piolle "a manoeuvré" ou "dissimulé" dans cette affaire. L'avocat général avait toutefois réclamé des amendes avec ou sans sursis ont été réclamées pour deux ex-agents territoriaux de Grenoble et deux représentants de l'association Fusées pour "délit de bureau". Mais le tribunal n'a pas été convaincu, préférant donc relaxer tout le monde.
L'appel de ce mardi contre la relaxe d'Eric Piolle concerne l'attribution de 2015.
Les donneurs de leçons d'extrême-gauche, qu'ils soient élus à Grenoble ou à Lyon, ils traînent tous les mêmes casseroles
Signaler RépondreIls connaissent que la fête...
Signaler RépondreVite un burkini avant le grand plongeon !
Signaler RépondreMouais tout le monde s'en tire bien sans trouvé réellement les causes, après on se demande pourquoi nous avons une mauvaises images de nos élus... ils font constamment du trafic en douce, c'est bien triste mais la roue tourne !!
Signaler RépondreJuges de gauche ???
Signaler RépondreSauf que les lyonnais.es ne sont pas des lumières non plus
Signaler RépondreFête des tuiles, en effet quelle tuile de se prendre Piolle comme maire...
Signaler RépondreFête des Lumières à Lyon, fête des Tuiles à Grenoble, y'a comme un fossé entre les 2 villes.
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