L'ancien président de la SNCF (2008-2019) a été nommé président du conseil de surveillance de l'emlyon business school.
Déjà président du réseau d'entrepreneuriat Initiative France, mais aussi du conseil d'administration d'Orpea, il "oeuvrera au rayonnement de l'école" aujourd'hui basée à Ecully et qui doit prochainement déménager à Gerland dans le 7e arrondissement de Lyon.
Guillaume Pépy doit par ailleurs "veiller à la bonne dynamique de la réalisation des différents projets stratégiques" de l'emlyon.
A noter que cette nomination n'arrive pas seule. L'emlyon annonce que l'évolution de l'actionnariat et l'augmentation de son capital ont été confirmées et officialisées ce mercredi.
Pour la CCI, actionnaire majoritaire de l'école, "cette nouvelle impulsion donnée (...) permettra de développer les grandes orientations stratégiques d’emlyon (excellence académique, rayonnement international, hybridation, engagement social et environnemental), par l’accélération et la mise en oeuvre de son plan stratégique Confluences 2025".
Guillaume Pépy présidera son premier conseil de surveillance le 15 décembre prochain.
Une actualité un peu plus positive du côté de l'emlyon, qui avait été prise dans la tourmente en octobre, après un signalement de la Chambre régionale des comptes au parquet de Lyon pour des faits présumés de favoritisme, recel et abus de confiance. Ce qui avait poussé le procureur à ouvrir une enquête toujours en cours.
"trottoir"!
Signaler RépondreEt un poste de surveillance (non-rémunéré s'entend), dans une belle PME-PMI locale - au savoir faire reconnu, qui chercherait à se développer à l'international, ça ne lui dit rien à l'ex-PDG de la CeNeCeFe?. Il a pourtant un copieux carnet d'adresses l'homme. Non là ! - j'exagère un peu sur l'option. Il aura seulement traversé... les rails (sans risques) et trouvé un job.
Signaler RépondreComme le disait Cheaubriand :
Signaler Répondre"la vieillesse est un naufrage, et les vieux des épaves"
Et pourtant, ils cumulent, comme des affamés de pognon, tous frais de bouche, d'hotellerie et de conciergerie payés
sur le dos de leurs concitoyens
40 milliards d’euros de dettes payées par les contribuables, le scandale d’orpéa, on n’arrête pas le progrès dans ce pays.
Signaler RépondreLisez donc "Richie", de Raphaëlle Bacqué (Grasset)...
Signaler Répondrepouvez vous me nommer président d'honneur des marmottes en Pentagone avec un petit salaire à 8000 ,un logement de fonction et une voiture de fonction,entres amis c'est normal de se soutenir n'est ce pas.
Signaler RépondreC'est louche.
Signaler RépondreJ'admire la faculté de recyclage de la bourgeoisie socialiste...
Signaler RépondreA bientôt 65 ans il peut pas laisser la place aux jeunes ?
Signaler RépondreCes riches, ils en veulent toujours plus...
Trois petits tours et puis s'en vont... Un poste de transition, avant la retraite. D'içi là, l'EM aura disparu, on n'en parlera plus.
Signaler Répondreincroyable de voir la carrière de tous ces gens qui font couler notre pays
Signaler RépondreZola ou Balzac n aurait pas rêver mieux que le monde d aujourd’hui hui pour montrer comment cette caste de nantis profite du système sans rien y apporter de positif .On y voit aussi la ligne maginaux vendu au peuple français entre entreprise privées et le service public.Il fait parti de cet ensemble qui se laisse bercé par les conseils de grandes entreprises ou états extérieurs afin de récupérer le maximum d avantages financiers et spéculer sur la vraie richesse existante en France!
- Comment vont les affaires Monsieur Pépy ?
Signaler Répondre- Comme vous voyez. :D
Eh oui,difficile de passer de la lumière à l’ombre….
Signaler RépondreDéjà retraité de la Sncf il vient de se trouver un petit job pour ses faux frais et de plus il résidera dans la région parisienne
Signaler RépondreNaufrage en vue.
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