Les professeurs exerçaient leur droit de retrait depuis mardi matin, pour réagir à l'incident survenu lundi après-midi dans les couloirs de l'établissement.
Un fumigène avait été allumé, provoquant l'évacuation de tous les élèves. Une enseignante a dû être hospitalisée et s'est vu accorder 10 jours d'ITT.
Une réunion a eu lieu ce mercredi matin au Rectorat. "Sur la question du droit de retrait et de la requalification de notre arrêt des cours comme un mouvement de grève (avec retenue sur salaire), le Rectorat a convenu, contrairement à ses premières communications, qu’il ne s’agissait pas d’une grève et nous a assurés qu’il n’y aurait pas de retenue sur salaire. C’est un premier geste d’apaisement", note le personnel du lycée.
"Le Rectorat a assuré qu’il serait attentif lors de la préparation de la rentrée 2023 (les dotations aux établissements se préparent en décembre et janvier) à la situation de notre lycée. Aucun engagement concret n’a cependant été pris et nous jugerons sur pièces lorsque la dotation horaire globale nous sera annoncée", peut-on encore lire dans ce communiqué.
Les cours reprendront jeudi matin "en espérant que les récents incidents ne se reproduisent pas", notent les enseignants qui "attendent un effort du Rectorat pour nous attribuer les moyens qui permettent un fonctionnement normal de notre lycée et qui reconnaissent la spécificité des difficultés rencontrées par nos élèves".
"dont ils en sont incapables"
Signaler RépondreVotre approche du français de cesse d'étonner ! Ah ah ah !
Puisque vous professez de si belles idées pour l'éducation/instruction, pourquoi ne passez-vous pas les concours du professorat ? L'avenir de la France dépend de vous !
Ah ah ah ! Quel comique !
Les promesses n'engagent que ceux qui les croient.
Signaler RépondreJe note que le rectorat n'agit favorablement que vous la pression. C'est lamentable.
Cette conduite désastreuse des élèves dans l'éducation nationale est due exclusivement aux parents d'élèves, qui se sont mêlés de cette éducation dont ils en sont incapables, déjà qu'ils ne savent pas éduquer leurs gosses en dehors des cours. Beaucoup disent haut et fort " mon enfant est mieux que l'autre " ou " il ne mérite pas cette note " ou " je refuse cette punition " et pour appuyer le coup, parfois l'un ou les parents cherchent chicanes aux professeurs ou bien les frappent. Un enfant n'est pas un " enfant roi " qui a droit de faire ce qu'il veut durant les cours, il est là pour apprendre. Je ne dis pas , non plus, que les profs doivent sévir en frappant les gosses, car c'est une grossière erreur de penser cela. On ne force pas un élève à apprendre en le frappant ou en le laissant de côté,ni à lui copier 100 fois la même phrase ou même une partie de bouquin, la seule vraie punition est de conjuguer à tous les temps, à tous les modes, l'objet de sa faute, ou bien de faire un devoir de math, d'anglais, ou autres langues. Ne punir l'élève qu'à des fins d'éducation. Que les parents s' occupent de la conduite de leurs gosses, chez eux, en tout cas en dehors de l'éducation nationale.
Signaler RépondreMais quelle est cette spécificité dans les difficultés rencontrer par leurs élèves !?
Signaler RépondreN’est-ce pas à Vaulx-en-Velin que les budgets pr l’éducation et les loisirs sont parmi les plus hauts ?
Pauvre France, gangrenée par les fous et incultes d'extrême gauche.
Signaler Répondrec'est bien faut travailler les jeunes, c'est l'avenir l'école soyez sérieux et sachez vous amusez comme il faut
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