La semaine dernière avait été marquée par un début de rixe dans la cour de l’Université Lyon 2, sur les quais du Rhône, alors que se déroulaient les élections pour les conseils centraux de l’établissement. Jeudi, l’UNI avait dénoncé une agression de la part de l’UNEF, vidéos à l’appui. Mais dans un nouveau communiqué, cette fois publié par le syndicat "Solidaires", une tout autre version apparait.
"A l’occasion des élections universitaires, un grand nombre d’étudiants du syndicat UNI sont venus de plusieurs villes, notamment Grenoble, Nice et Aix Marseille, pour tracter sur le campus de l’Université Lyon 2, enchaînant les provocations depuis deux jours", assure tout d’abord les militants de gauche, voire d’extrême-gauche. Puis, "le mercredi après-midi, des étudiants non syndiqués, indignés de voir des tracts d’extrême droite distribués au sein de l’Université, ont demandé aux militants de l’UNI s’ils soutenaient Zemmour".
"En réponse, ces derniers ont proféré des insultes et menaces islamophobes", poursuit Solidaires. Ces derniers indiquent que ce sont ensuite « les étudiants d’extrême droite qui ont alors fait usage d’une bombe lacrymogène en plein cœur de l’université et sous le regard de nombreuses personnes. L’un des militants de l’UNI Grenoble a alpagué l’un des étudiants présents en lui répétant : "si je te dis que Allah n’existe pas, qu’est-ce que tu vas faire, tu es un soldat de Dieu ou pas ? » L’objectif des militants de l’UNI semblait alors clair : provoquer dans l’espoir de filmer quelques réactions vives qui pourraient ensuite être tronquées et instrumentalisées".
Reste que les insultes proférées par les anti-UNI n’ont pas été justifiées dans le communiqué, notamment l’insulte "Putain de babtou" ("putain de blanc", ndlr) proférée par un individu véhément. Une vidéo des faits avait d’ailleurs été publiée par l’UNI peu après l’altercation qui n’aurait pas fait de blessé.
"Face aux nombreuses provocations et violences de la part des militants de l’UNI, les nombreux étudiants présents ont alors enjoint ces derniers à quitter le campus" conclut Solidaires, réclamant un soutien public de la direction de l’Université Lyon 2.
L’UNI, de son côté, avait annoncé que des poursuites judiciaires pourraient être engagées.
n importe quoi ! et les insultes et mépris pour couronner le tout !
Signaler RépondreL'EG...direction nord est aller simple
Signaler RépondreTraiter quelqu'un de bas de plafond quand on fait une faute tous les deux mots, c'est un peu gros quand même!!
Signaler RépondreC'est la guerre à Lyon2...
Signaler RépondreC'est possible que des militants soient venus de très loin. Il y a longtemps pour me soutenir aux élections au conseil d'administration, on m'avait envoyé un conseiller en communication pour me dérouiller en face des auditoires. C'est d'ailleurs lui qui avait pris la parole à ma place pour retourner l'auditoire et l'entraîner à voter notre liste... J'ai pas brillé par la suite....
Signaler RépondreMais où est passé Bruno Gollinish ? En tant qu' ancien prof et spécialiste du Japon ,il aurait dû enseigner le Karaté aussi, ce qui aurait évité à l' UNI ( la grande peureuse) de rappeler des renforts grenoblois & Co .
Signaler RépondreL'UNI est un vrai furoncle rempli de pue et ses adeptes restent de la gangrène qui faut amputer de la fac .
Question: qui est le plus identitaire : l'UNI ou la Cocarde ?
Signaler RépondreEncore et toujours à chouiner les gauchistes.
Signaler RépondreNe vous énervez pas, ce sont de losers en puissance, ils font les beaux maintenant dans 10 ans se seront des "crève la dalles" l'extrême gauche est la risée de la France
Signaler RépondreLa vidéo d'illustration se passe de commentaires.
Signaler RépondreAvec l'UNEF, l'universalisme est très, très, très loin. Ce groupuscule est devenu ultra-violent, raciste, islamisé et avec un vocabulaire on va dire très limité (fils de p..., p... de batbou, comme on peut l'entendre dans la vidéo).
Est-ce qu'on est encore dans une université française? En tout cas, c'est pas avec ce vocabulaire que l'université française va remonter dans les classements internationaux. Quoiqu'en pensent les wokistes et les macro-bobos...
Et oui les méchant blanc de la droite on provoqué les gentilles et innocentes personnes militant á gauche gauche.
Signaler RépondrePour les gauchistes, c’est encore la faute des autres! A force de défendre l’indéfendable, l’UNEF et consorts se sont enfermés dans une spirale de violence et de communautarisme! A quand la dissolution de l’UNEF, Solidaires,….pour retrouver des facs sans violence ou la liberté d’expression pourra à nouveau s’exprimer!!!!!!
Signaler Répondreprovocation et racisme : rien de nouveau à l'UNI
Signaler RépondreC'est forcément la faute de l'UNI : ILS SONT DE DROITE!
Signaler RépondreIncroyable de ne pas comprendre ça quand même!
Et les décérebrés d'extrême gauche ne valent pas mieux
Signaler RépondreC'est vrai qu'en matière de bas de plafond tu sait de quoi tu parle !!
Signaler RépondreLes psychiatres ne t-on toujours pas changer ton traitement ? Pas d'isolement en vue ?
si il n'y avait qu'eux !!!!
Signaler RépondreEh oui, les bas du front d'extrême droite cassent tout !
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