La mairie de Lyon s’était dit satisfaite par la première édition du festival qui a accueilli entre 40 000 et 50 000 personnes. En 2022, "Entre Rhône et Saône" a proposé 220 évènements écologiques, culturels ou sportifs pour un budget total de 750 000 euros dont la moitié venait du mécénat. La deuxième édition du festival devrait donc bénéficier du même budget, ce dernier doit juste être soumis au conseil municipal. Un appel à projets a été lancé par la mairie et a déjà récolté 130 000 euros.
Les Lyonnais vont pouvoir proposer des activités gratuites en plein air avant le 16 janvier. Si tout le monde peut participer, il faudra tout de même que les idées aient "un lien avec le patrimoine du Rhône, de la Saône, de la Confluence ou avec l’élément aquatique". La municipalité souligne que les "produits issus du commerce équitable, de l’agriculture biologique ou de proximité dans le cadre des buvettes" auront plus de chance d’être retenus.
La mascotte de la première édition, la Mâchecroûte, sera bien présente pour ce deuxième festival au niveau du pont de la Guillotière.
Des ateliers "déserts" et une certaine "déception"
Mais Entre Rhône et Saône est loin de plaire à tout le monde. Le maire LR du 2e arrondissement Pierre Oliver s’était dit déçu par l’évènement lors d’un conseil municipal : "Je ne dirai pas que nous avons gâché 750 000 euros, mais pour les prochaines éditions, il me semble qu’une nouvelle programmation plus proche de son esprit d’origine, le pardon des mariniers, aurait un tout autre impact." Il considérait que certains ateliers étaient "déserts" et que "les motifs de déception étaient nombreux".
Cette deuxième édition sera donc le moyen pour la mairie de vérifier l’intérêt des Lyonnais envers ce festival.
moi ,j aime bien me gratter les (mache) croutes
Signaler Répondremoi la machecroute m'a fait très peur , j'ai du poser un arrêt de travail de 15jours pour m'en remettre
Signaler RépondreLe regard de la machecroute indique clairement son état d'esprit :
Signaler Répondre"Mais qu'est ce que je fais ici?"
Ou pour paraphraser un titre de film:
"Qu'est-ce que j'ai a fait au Bon Dieu ? "
quand c est qu on casse la (mache) croute?
Signaler RépondreAvec 750 000 euros on peut faire des choses bien plus utiles :
Signaler RépondreEmbaucher des policiers municipaux
Embaucher des assistants scolaires
Installer des caméras de surveillance
Mais non l'équipe du kmaire va persister dans ses délires mégalo dégenrés et bien sur écolo-compatibles
Qu'il y ait plus ou moins de visiteurs il n'en auront rien à cirer, leur petit égo sera satisfait et c'est bien là leur but non avoué
Nous n'avons pas d'autres choix que d'augmenter les impôts locaux. C'est la faute de l'état.
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