Un procès attendu s’ouvre à Lyon ce vendredi, devant la Cour d’Assises du Rhône. Celui de Saïd Tayakout. L’homme de 55 ans, originaire de Saint-Etienne, est déjà incarcéré à Corbas pour trois braquages commis dans la Loire, il y a une dizaine d’années.
Cette fois-ci, l’accusé est suspecté d’être l’un des auteurs de l’attaque à l’arme de guerre et à l’explosif causant la mort d’une personne. Deux personnes avaient également été grièvement blessées.
22 ans après
À l’époque, un fourgon de la société Transval transportant 20 millions de francs, soit l’équivalent de 3,6 millions d’euros, effectuait le trajet entre la Banque de France et le centre fort de la société. Le véhicule est alors attaqué par deux individus, armés, expédiant plusieurs rafales. C’est une explosion visant à ouvrir une porte coulissante du fourgon qui tuera le convoyeur sur le coup.
Ce sont de récents tests ADN qui ont permis d’établir une possible relation entre Saïd Tayakout et l’attaque du fourgon, de nombreuses années après.
Le procès doit durer jusqu’à mercredi.
Et avec l’argent ils achètent des immeubles des tableaux de maître puis des belles montre plus de belles voitures de luxe et après la prison ils deviennent des hommes d’affaires sauf que leurs mains sont pleins de sang voilà pourquoi il faut changer les peines de prison en perpétuité quand tu tue un humain sérieux
Signaler RépondreTuer pour l’argent, pour une religion, ou par pure perversion est un truc que je n’arriverais jamais à comprendre. Ce monde de dingues avec des gens pour qui la vie d’autrui n’a aucune importance, ils n’ont ni regrets ni compassion pourquoi devrait-on, nous, avoir de la compassion pour eux ? D’autant que la perpétuité n’existe pas et qu’en plus généralement ils font la moitié de leur peine alors que les familles des victimes elles prennent une réelle perpétuité.
Signaler RépondreLes gens qui tuent pour du pognon, dans la finance ou dans les braquages, ce sont des ratés de l'évolution dont l'espèce humaine doit absolument se débarrasser. Ils nous asservissent et nous tuent, à l'arme de guerre ou en nous tenant au cou, mais nous sommes plus nombreux... Ces racailles se valent toutes, qu'elles soient en costard ou en baskets.
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