Selon Le Progrès, une femme âgée de 78 ans est recherchée depuis ce jeudi matin après avoir été vraisemblablement victime d’une noyade dans le Rhône. Originaire de la Loire, la victime aurait laissé une lettre qui évoque un suicide à venir. Sa disparition avait été signalée mercredi soir, son véhicule avait ensuite été localisé dans la commune située au sud de Lyon.
De nombreux sapeurs-pompiers ont entrepris des recherches dans le fleuve dès jeudi matin, aidés par une équipe de plongeurs. Malheureusement aucun corps n’a été retrouvé, les investigations dans les eaux glacées ont été levées en début d’après-midi.
Une enquête est ouverte.
Tout à fait d'accord avec vous Lilou.
Signaler RépondrePauvre petite Mamie. Je suis vraiment peinée pour elle...
Peut-être une activiste écologiste qui empêche les pêcheurs de pêcher ?
Signaler RépondreC'est une curieuse façon de rédiger les choses que de dire que cette pauvre femme a été "victime d'une noyade", alors qu'il était déjà établi, par la lettre qu'elle avait laissée, qu'elle avait voulu se suicider.
Signaler RépondreGénéralement, on n'est pas "victime" de ce que l'on a recherché. Mais si cette désespérée recherchait l'apaisement devant des malheurs qu'elle aurait eu à subir dans sa vie passée, je souhaite qu'elle ait pu le trouver, là où elle est maintenant. Dans la paix du repos éternel.
suicide par armes à feu ,c est plus expeditif et definitif:l eau froide ,c est trop froid :agonie qui n en finit pas.......(comite militant de lutte pour une euthanasie choisie)
Signaler Répondrequelle tristesse, compassion pour cette dame
Signaler Répondreen espérant qu'elle s'est ravisé et sera retrouvée saine et sauve
en ces temps difficiles et qui ne vont aller que de mal en pis, nous aurons tous un rôle à jouer pour éviter d'autres drames
solidarité, bienveillance, humanité
Quelle tristesse ce suicide !
Signaler RépondreCela vient de quoi ? Qu'avait cette dame qui méritait le saut ds l'eau ?
La maladie ? La solitude ? La peur de l'avenir, même si son avenir était restreint ?
Vous ne souffrez plus, madame ...