Et obligé la Métropole de Lyon à casser la grève et à se heurter à la détermination des salariés de la société Arc-en-Ciel. Mais à quelques jours de la fin du contrat entre cette dernière et la collectivité, les grévistes du nettoyage de la gare routière de Perrache ont annoncé avoir repris le travail ce samedi.
La société Arc-en-Ciel a présenté "une première mouture d’un plan de sauvegarde de l’emploi" qui a convaincu les syndicats. Cette "seule garantie" obtenue après de longues semaines de mobilisation ne sera toutefois pas suffisante, et CNT-SO, FO, CGT et CFDT préviennent qu’ils veilleront à ce que les salariés ne soient pas licenciés ou mutés arbitrairement.
Le communiqué de l’intersyndicale ne manque pas d’égratigner les écologistes et le président de la Métropole de Lyon Bruno Bernard, qui avait notamment envoyé une entreprise privée pour nettoyer la gare de Perrache avant le coup d’envoi de la Fête des Lumières. Traité de "politique voyou", l’élu EELV est accusé de s’être inscrit "dans la droite ligne de (ses) prédécesseurs" et a eu "un comportement particulièrement hostile et méprisant, digne des pires politiques néolibérales".
"Nous attendons que la Métropole s’implique dans la recherche de solutions pour les salariés de Perrache. Nous lui demandons également de reconnaitre ses fautes", conclut le communiqué.
Pour rappel, la Métropole de Lyon avait choisi de mettre fin au contrat de la société Arc-en-Ciel pour réserver dès 2023 le marché du nettoyage de la gare routière de Perrache à des sociétés d’insertion.
"...en cas de cession ou perte de chantier, l'entreprise preneuse du chantier, doit reprendre l'ensemble des salariés aux mêmes conditions salariales qu'avec le précédent employeur..."
Signaler RépondreIl y a une gare, gérée par un établissement public (la Métropole?).
Un chantier de nettoyage dans cette gare, chantier mit au marché public,
Une entreprise qui a répondu au marché et qui a était PRENEUSE du marché.
D'ailleurs les agents grévistes sont "salariés de la société Arc-en-Ciel".
C'est donc à Arc-en-ciel, si je comprends bien vos propos, à resoudre le problème de SES salariés.
D'ailleurs il faut lire dans l'article de LM
"...La société Arc-en-Ciel a présenté "une première mouture d’un plan de sauvegarde de l’emploi" qui a convaincu les syndicats..."
Et la Métropole est tout a fait en droit, en fin de marché, de réviser les termes et objectifs du prochain marché.
Il y a certaines grandes administrations où les marchés publics ne peuvent être attribué plus de 2 fois à la même entreprise.
What?
Signaler Répondre"...remplun ... un smicrd ... aller vosser ... dans risques ... "
Êtes vous partisan du moindre effort?
Aimeriez vous qu'on vous amène tout sur un plateau doré et qu'en plus on vous présente des excuses pour votre discours bâclé?
1/ il y a des vieux diesel Crit'air 3, donc encore autorisé en ZFE.
2/ il n'y a pas que les aides du Grand Lyon pour remplacer votre véhicule.
3/ vous n'êtes pas obligé de remplacer votre vieux diesel par une Tesla luxueuse.
Vous êtes comme ces syndicats qui traitent la métropole de "politique voyou" et "néolibérale" pour avoir nettoyé la gare à leur place pour le bien des utilisateurs, et espèrent tout de même de voyous néolibéraux (qui ne sont pas leurs employeurs) qu'ils soient bienveillants pour leur cause
La CGT syndicat de fainéants a enfin levé le piquet de grève !
Signaler RépondreBon la fibre sociale du rentier en Tesla S me semblait bien faiblarde.
Signaler RépondreLa pime de 1000 euro pour acheter une voiture électrique à 30000 pour remplun le vieux diesel d'un smicrd qui doit aller vosserà 5h mat super social il n' a plus qu'a trouver 29000 euro et une borne de recharge dans son HLM,où il pourra garer dans risques 15 ans de crédit. ..
Europe écologie les jaunes.
Et à la fin, c’est la Métropole qui paiera…
Signaler RépondreEh ou, quand on est en tort…. vraiment des amateurs ces Élus!
C'est prévu dans certaines conventions collectives et dans le code du travail (du moins ce qu'il en reste après les lois macron).
Signaler RépondreÇa s'appelle le transfert des contrats de travail d'une entité vers une autre avec reprise de l'ancienneté, maintien des droits etc...
Cela évite que les salariés perdent leur emploi lorsque leur entreprise a perdu le marché sur lequel ils intervenaient.
Renseigne toi avant de t'étonner....
Signaler RépondreLe code du travail et tout particulièrement, les dispositions de la convention collective du nettoyage, prévoient qu'en cas de cession ou perte de chantier, l'entreprise preneuse du chantier, doit reprendre l'ensemble des salariés aux mêmes conditions salariales qu'avec le précédent employeur.
Signaler RépondreEn l'espèce, ces femmes et hommes qui depuis deux mois, luttent courageusement pour conserver leurs emplois, sont tombés sur "des charlots syndicalistes" !
Plutôt que de consulter un avocat, pour saisir la juridiction prud'homale et la DDTEFP. Ils ont "embourber" ce conflit, pour faire de ces pauvres gens, des martyrs.
Sur le fond, les syndicats après avoir appeler a voter pour eux (2020 et 2022) ont rendus service aux pastèques et islamo-gauchistes.
Voila la triste réalité.
Donc, une entreprise voit son contrat arriver à son terme (non renouvelé), MAIS ses salariés devraient en fait pouvoir continuer à travailler sur le site, un emploi à vie, quoi. Quelqu'un peut-il nous expliquer ce nouveau concept ?
Signaler RépondreAccessoirement, l'entreprise qui prend la suite est une entreprise d'insertion. L'insertion, ça leur parle pas aux syndicats et aux Nupesiens ?
"un comportement particulièrement hostile et méprisant, digne des pires politiques néolibérales" On le savait déjà il suffisait de voir les comportements des élus verts dans d’autres départements, cynisme mépris et extrémisme.
Signaler RépondreMoi je travail à la metropole avec Bernard dans 4 ans tout sera prive
Signaler RépondreSi je comprends bien, par son action, en prenant une prestation ponctuelle avec une société extérieure, Doucet a cassé la grève des salariés de cette entreprise ?
Signaler RépondreEt il prétends défendre les grévistes, c'est ça ?
Il est incohérent ce garçon !
On ne critique pas B Bernard ! Le droit de grève est interdit par la NUPES quand elle nuit a ses intérêts.
Signaler RépondreIl va dire que les grévistes sont des opposants politiques, et fera tout pour les faire taire. Comme il fait bloquer les comptes tweeter de toutes les voix négatives a sa politique.