L’Institut d’Ecully qui porte son nom utiliserait son patronyme de manière abusive. Sur le contrat, l’Institut n’avait qu’un droit d’usage du nom à condition que ce dernier ne soit pas utilisé à des fins commerciales. Or, Jérôme Bocuse considère que les accords du contrat n’ont pas été respectés.
Les faits remonteraient autour de 2010 où l’Institut Paul Bocuse aurait permis à AirFrance de renommer sa classe affaire en Bocuse et à une clinique de la région lyonnaise d’avoir des plateaux-repas à son nom. D’autres utilisations abusives auraient eu lieu avec le temps, notamment des produits surgelés avec une recette Bocuse. Jérôme Bocuse n’aurait pas donné son accord pour que son nom soit utilisé sur ces différents produits.
Le directeur général de l’Institut Paul Bocuse, Dominique Giraudier, a démenti ces accusations. Pour ces raisons, Jérôme Bocuse a engagé une action juridique et le procès devrait avoir lieu en 2023. Si aucune solution n’est trouvée entre les deux acteurs, l’Institut pourrait bien perdre son nom.
On pourrait me payer des millions, je refuserai quand même que mon nom soit associé à la bouffe dégoutante d'un hôpital ou d'un avion.
Signaler RépondreC’est marrant. A chaque fois que j’entends parler de cette école, c’est toujours en mal. Problème d’urbanisme, problème de transport en commun, problème avec les riverains, problème de fêtes étudiantes, problème avec la famille Bocuses…….
Signaler RépondreToujours tout ramener à l'argent est l'apanage des idiots...
Signaler RépondreOn parle "d'image", "d'utilisation frauduleuse du nom"....et au final ça relève bien plus du respect, ET du contrat ET de la personne.
Peut-être n'avez-vous aucun respect de vous-même pour vous laisser marcher dessus et mépriser mais heureusement ce n'est pas le cas de tout le monde, certains n'acceptent pas d'être instrumentalisés.. et n'y voir qu'une "question d'argent" est d'une incommensurable bêtise... Je suis certain que vous devez être de ceux qui commentent "T'es jaloux" quand certains s'offusquent, par exemple, de l'indécence morale de la rémunération de KB ou KMB... On parle de valeurs morales, de respect, d'équité et... vous repondez argent et matérialisme... Vous pensez petit car vous êtes petit.
Pas forcément. Sur les abus type surgelés/EHPAD oui, logique. Sur d'autres usages, la Justice pourrait considérer ça comme de l'abus de pouvoir de nuisance. De la nuisance et des usages.
Signaler RépondreLe problème n'es pas de savoir quel produit va concerne ni de débattre sur ce qui serait de la qualité ou pas... Le problème est l'usage frauduleux du nom et n'importe qui est e' droit de protéger l'utilisation qui est faite se son nom.... Ça vous plairait, vous, que quelqu'un utilise votre nom pour se faire de la thune sans votre permission ?? Je peux vous garantir que l'institut va morfler en justice, que son nom va sauter et qu'il va devoir payer amendes, frais de justice et dommages et intérêts... Et c'est normal ! Les faits sont les faits, l'utilisation du nom était defini par contrat dz's un certain cadre et ce contrat n'a pas été respecté... Y'a rien d'autre à prendre en compte... Essayez donc d'aller vendre des peluches en les estampillant "Walt Disney".. vous allez comprendre... Estampiller Bocuse sans y être autorisé équivaut à de la contrefaçon, c'est aussi simple que ça. Les preuves sont tellement flagrantes que l'Institut n'a strictement aucune chance de s'en sortir... C'est du "pris la main dans le sac".
Signaler RépondreLe contrat est mirobolant pour la fille de Picasso
Signaler RépondreEn millions d’euros chaque annee verse par citroen.
Vous croyez vraiment que la famille Picasso, n'a pas gagné d'argent, avec le modèle de Citroën éponyme ?
Signaler Répondreil n’a pas touché un chèque le pauvre
Signaler Répondreles commentaires de ce journal sont vraiment les meilleurs du net vous régalez les gars
Signaler Répondreet donc questions de fric ( c’est chic)
Signaler RépondreOui, enfin utiliser une marque prestigieuse pour une classe affaire ne me semble pas relever de l'abus pour le coup. On pourrait, laissons la Justice trancher, arguer que c'est Jérome Bocuse qui fait entrave au commerce.
Signaler RépondreAprès, d'accord pour ne pas galvauder le nom Bocuse sur du Vivagel eco+
Un contrat est un contrat .
Signaler RépondreAlors , faire le dos rond pour obtenir l'usage du Nom gratuitement est une chose .
Par contre , dépasser les limites de cette chose pour se faire du pognon en est une autre .
Jérome a alerté , prevenu ...mais l autre a fait le sourd ....
Alors Ping ! sanction !
Je n'en sais rien, je ne suis pas dans sa tête (ni vous d'ailleurs), mais en l'occurrence le sujet de ce conflit et de cet article c'est précisément l'inverse, il veut préserver le nom d'une utilisation mercantile.
Signaler RépondreEn outre, un contrat est un contrat.
Jérôme a entièrement raison . Bocuse c'est AOP
Signaler RépondrePaul Bocuse avait donné son nom pour le prestige de la cuisine Française, Jérôme Bocuse lui veut récupéré le pognon.
Signaler RépondreFaire de la pub gratos ,c'est sûr que ça frôle l'escroquerie
Signaler RépondreProblèmes de riches...
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