Promesses non tenues, retards de primes : ça chauffe à Botafogo, l’autre club de John Textor

Décinois a écrit le 29/12/2022 à 19h06

Pour les sages, l'intelligence remue le monde, ils dénoncent, ils démontrent, sans qu'ils n'en reçoivent aucun bénéfices.
Pour les affairistes, c'est l'argent qui remue le monde et qui leur permet de s'enrichir sur le collectif.
Mais comme vous, celui qui prétends montrer sans s'insurger serait alors complice ?

Jacky69 a écrit le 28/12/2022 à 20h31

Lorsque le sage montre les détournements d'argent public, l'imbécile ne regarde que le Grand Stade.

Sturlat. a écrit le 28/12/2022 à 19h38

...... oh que non, ce qui est étrange c'est la définition du droit dans le monde des nantis lyonnais :))
Après, on peut dénoncer que ce que l'on connait..... un peu, mais il y aurait tant d'autres "prétextes" à dénoncer les méfaits et détournements d'argent public sous l'ancienne ère "coloniale" .... :))
.... oh oh, les trolls "protecteurs" de l'ancien maire de Lyon vont fondre en excuses politiques ou autres Flots de paroles superflues masquant la pauvreté de la pensée et la noirceur de la vérité :))

Ali Diaw a écrit le 28/12/2022 à 18h12

Je suis toujours surpris de constater que le Grand Stade cristallise à lui seul le combat de détournement et/ou le gaspillage d'argent public à Lyon et dans la Métropole.
Etrange ?

Sturlat. a écrit le 28/12/2022 à 17h15

Bravo, je n'aurais pas fait mieux :))
Merci pour le rétablissement de la vérité.

Memphis a écrit le 28/12/2022 à 14h52

...parce qu' ils ont même des primes de Noël ces millionnaires ??????

Le mensonge ne peut qu'instiller le doute a écrit le 28/12/2022 à 16h37

Vous abordez un sujet que manifestement, vous ne connaissez pas !
Allez demander aux entreprises installées dans le Parc du Chene à Bron par exemple (ZAC réalisées par le Public sur un terrain public, même surface, mais 2500 emplois) quel a été le prix de vente des terrains au mètre carré - Il est le résultat du prix d'achat majoré de tous les investissements liés à ce projet, y compris toutes les études. 300 € le prix moyen il y a 25 ans avec des contraintes pesantes du règlement de ZAC)
Pour ce qui est du Montout, la collectivité (Colomb) a vendu un terrain public au prix agricole en organisant tout pour que, en posant une métaphore, comme si la voiture soit vendue sans le moteur au prix de la carrosserie, en s'engageant à livrer le moteur gratos ultérieurement, puisqu'on ne peut pas faire rouler une voiture sans moteur, on ne peut pas plus construire sur un terrain agricole, sauf une activité qui en relève.
D'ailleurs, pourquoi ne vous demandez vous pas le refus par aulas du terrain du PUISOT à Vénissieux sur 20 ha extensibles ? réponse : parce que la plus-value n'est pas possible et c'est pourtant par cette plus-value révélée par les éléments introductifs à la bourse de Paris, que le projet pouvait se réaliser.
Ou bien le refus d'investir dans l'aménagement de GERLAND, prétextes : terrain trop petit - ah bon ? zone protégée ? ah bon, mensonges ? alors ce qui était possible pour le rugby ne l'aurait pas été pour aulas ? Même raisonnement, pas de possibilité de spéculer (sur le dos des contribuables)
Donc choses avouées, mais loin, très loin d'être pardonnées.

Et c'est exactement ce qu'il s'est passé, et précisément la plus value gigantesque à faire sur ce terrain acquis à 40 € nu et revendu avec une culbute de près de DEUX CENTS FOIS en "DROITS A CONSTRUIRE" R-de-ch + nombre d'étages sans doute pour que l'énormité soit moins visible après équipement par la collectivité, jusqu'à même une liaison fer (tram et station) publique sur un terrain privé (ce n'est quand même pas très courant, sauf si vous avez exemples contraires)
Par ailleurs tous (ou presque) les industriels ou activités commerciales qui s'implantent participent aux équipements nécessités par leurs activités, et pour la plupart, le paiement par avance de cette participation conditionne la délivrance du permis de construire (demandez à Carrefour Vénissieux, à combien s'est élevée cette participation) - Ici, rien ou presque, juste la prise en charge de la moitié du passage supérieur de la rocade (sortie 7b) dédiée au stade.

Quant aux emplois créés, comment ne pas voir le mensonge énorme quand il s'agit d'un transfert ? vous mangez 2 fois le midi ? vous dormez dans 2 lits la nuit - c'est votre problème ! mais c'est habiller Jacques pour vêtir Paul .... vous ne voulez pas le voir ?

Quant aux voies réservées, le mot "dédié" aux contrats de service ont un sens - synonymes : "donner, offrir, réserver" -Ainsi
17 km de voiries de 12m de large en bitume, sur 17 km, payées par l'emprunt public, c'est à dire nos enfants, qu'empruntent en navette aller-retour 80 bus diesel de réforme, sur 4 heures de temps, et tout au plus 20 FOIS PAR AN, fermées physiquement à la circulation 350 jours par an , et coupant 7 pénétrantes depuis la Rocade Est et protégées par des feux tricolores toute l'année en service - en entretien et sécurité s'y rapportant assurés par les contribuables de chassieu, de décines et de meyzieu - Vous appelez cela comment ? l'INTERET GENERAL ?
Eux, ils appellent cela des "voies paysagées pour piétons, puisqu'il fallait un alibi, alors on avait posé des grands panneaux se voulant informatifs de 4m x 3m sur chaque intersection, en ventant des voies paysagées pour piétons, en faisant fi volontairement d'aborder la réalité du but final, déguisé, de ces travaux. D'autant que ces chemins bordent des lotissements d'habitat individuel largement fournies en aménagements de loisirs de cette nature.

Je ne veux pas vous laisser dans l’ignorance ou l’intox qui a été faite pour faire accoucher ce projet exorbitant de fonds publics à des fins de spéculation puisque c’est le cas démontré aujourd’hui.

Le mensonge ne peut qu'instiller le doute a écrit le 28/12/2022 à 16h37

Vous abordez un sujet que manifestement, vous ne connaissez pas !
Allez demander aux entreprises installées dans le Parc du Chene à Bron par exemple (ZAC réalisées par le Public sur un terrain public, même surface, mais 2500 emplois) quel a été le prix de vente des terrains au mètre carré - Il est le résultat du prix d'achat majoré de tous les investissements liés à ce projet, y compris toutes les études. 300 € le prix moyen il y a 25 ans avec des contraintes pesantes du règlement de ZAC)
Pour ce qui est du Montout, la collectivité (Colomb) a vendu un terrain public au prix agricole en organisant tout pour que, en posant une métaphore, comme si la voiture soit vendue sans le moteur au prix de la carrosserie, en s'engageant à livrer le moteur gratos ultérieurement, puisqu'on ne peut pas faire rouler une voiture sans moteur, on ne peut pas plus construire sur un terrain agricole, sauf une activité qui en relève.
D'ailleurs, pourquoi ne vous demandez vous pas le refus par aulas du terrain du PUISOT à Vénissieux sur 20 ha extensibles ? réponse : parce que la plus-value n'est pas possible et c'est pourtant par cette plus-value révélée par les éléments introductifs à la bourse de Paris, que le projet pouvait se réaliser.
Ou bien le refus d'investir dans l'aménagement de GERLAND, prétextes : terrain trop petit - ah bon ? zone protégée ? ah bon, mensonges ? alors ce qui était possible pour le rugby ne l'aurait pas été pour aulas ? Même raisonnement, pas de possibilité de spéculer (sur le dos des contribuables)
Donc choses avouées, mais loin, très loin d'être pardonnées.

Et c'est exactement ce qu'il s'est passé, et précisément la plus value gigantesque à faire sur ce terrain acquis à 40 € nu et revendu avec une culbute de près de DEUX CENTS FOIS en "DROITS A CONSTRUIRE" R-de-ch + nombre d'étages sans doute pour que l'énormité soit moins visible après équipement par la collectivité, jusqu'à même une liaison fer (tram et station) publique sur un terrain privé (ce n'est quand même pas très courant, sauf si vous avez exemples contraires)
Par ailleurs tous (ou presque) les industriels ou activités commerciales qui s'implantent participent aux équipements nécessités par leurs activités, et pour la plupart, le paiement par avance de cette participation conditionne la délivrance du permis de construire (demandez à Carrefour Vénissieux, à combien s'est élevée cette participation) - Ici, rien ou presque, juste la prise en charge de la moitié du passage supérieur de la rocade (sortie 7b) dédiée au stade.

Quant aux emplois créés, comment ne pas voir le mensonge énorme quand il s'agit d'un transfert ? vous mangez 2 fois le midi ? vous dormez dans 2 lits la nuit - c'est votre problème ! mais c'est habiller Jacques pour vêtir Paul .... vous ne voulez pas le voir ?

Quant aux voies réservées, le mot "dédié" aux contrats de service ont un sens - synonymes : "donner, offrir, réserver" -Ainsi
17 km de voiries de 12m de large en bitume, sur 17 km, payées par l'emprunt public, c'est à dire nos enfants, qu'empruntent en navette aller-retour 80 bus diesel de réforme, sur 4 heures de temps, et tout au plus 20 FOIS PAR AN, fermées physiquement à la circulation 350 jours par an , et coupant 7 pénétrantes depuis la Rocade Est et protégées par des feux tricolores toute l'année en service - en entretien et sécurité s'y rapportant assurés par les contribuables de chassieu, de décines et de meyzieu - Vous appelez cela comment ? l'INTERET GENERAL ?
Eux, ils appellent cela des "voies paysagées pour piétons, puisqu'il fallait un alibi, alors on avait posé des grands panneaux se voulant informatifs de 4m x 3m sur chaque intersection, en ventant des voies paysagées pour piétons, en faisant fi volontairement d'aborder la réalité du but final, déguisé, de ces travaux. D'autant que ces chemins bordent des lotissements d'habitat individuel largement fournies en aménagements de loisirs de cette nature.

Je ne veux pas vous laisser dans l’ignorance ou l’intox qui a été faite pour faire accoucher ce projet exorbitant de fonds publics à des fins de spéculation puisque c’est le cas démontré aujourd’hui.

Jacky69 a écrit le 28/12/2022 à 13h52

Avec votre raisonnement nous n'aurions ni sport ni culture ni entreprises privées à Lyon.
Sinon il vous faut vous attaquer avec la même verve à toutes les zones industrielles de France avec leurs entreprises privées qui ont nécessité des expropriations et dont les accès, les voiries, les entretiens, ... ont été et sont au frais des contribuables.

ARMAND a écrit le 28/12/2022 à 12h13

On nous avait vendu (aux contribuables) une nécessité, un besoin impérieux, le rayonnement de Lyon, au titre d'une pseudo appellation "intérêt général", ce qui n'était qu'alibi pour obtenir subventions et quasi-dons de terrains commerciaux jusque là propriété des contribuables, en bordure et en visibilité sur 1,2 km d'un axe européen à grands potentiels visuels

et qui a encaissé les subventions et toutes les générosités successives annuellement des collectivités locales (elles-mêmes traitant plus de l'intérêt particulier, puisque électoralistes) ?
Qui ?
réponse : le vendeur qui a donc oublié que, comme disait sarko "t'aurais pas pu le faire ton stade si on n'avait pas été là"
et qui fait profit de toutes les plus values générées par la génorisité de ses concitoyens, sans aucun retour sur investissement.

L'acquéreur, lui, a payé le prix du marché, contrairement au vendeur.
Il devra donc faire profit de tout poils pour satisfaire la gourmandise des fonds de pension désormais propriétaires, de plus américains, avec les habitudes qu'on leur connait de poser leur guêtres dans les paradis .... vous connaissez la suite.