Fondée en 1973, la librairie risque de disparaître et de laisser plus de 80 000 livres derrière elle. Elle fait l’objet depuis 2018 d’une procédure d’éviction de ses locaux par l’entreprise d’immobilier Maïa qui veut utiliser les lieux à ses propres fins.
En cas de fin de bail, la loi prévoit le versement d’une indemnité de la part des bailleurs. Mais depuis deux ans, aucun accord n’a été trouvé entre les deux parties.
7250 signatures sur 7500
Même si Diogène parvient à trouver de nouveaux locaux, cela ne sera qu’une première étape : "Déplacer notre librairie implique de mobiliser des fonds importants dont nous ne disposons pas".
La pétition a déjà récolté plus de 7250 signatures sur un objectif actuel de 7500. Diogène explique que "la présence de la librairie est plus qu’un repère pour les habitants du quartier, elle participe à l’équilibre du Vieux-Lyon".
Au-delà du site, une pétition papier est présente directement à l’intérieur de la librairie.
Le dossier est aujourd’hui dans les mains de la justice. Reste donc à savoir si la pétition sera efficace pour permettre à Diogène de garder ses locaux ou si la librairie devra aller voir ailleurs.
Des pseudos politiciens d'extrême-gauche rentrés accidentellement grâce à un virus et qui depuis saccagent notre ville.
Signaler RépondreEux les éternels combattants de pacotille du capital, sont étrangement muets dès qu'il faut se sortir les doigts de leur c.l verdâtre pour protéger notre patrimoine culturel des requins de la finance.
En revanche pour nous pourrir la vie avec des bacs à compost inutiles en ville et la lutte acharnée contre tous les moteurs non électrifiés à l'avantage des kwh de centrales à charbon allemandes payés à prix d'or ils sont remarquables...
16 commentaires seulement pour un sujet culturel et patrimonial, on comprend de suite où se situe la gangrène inculte qui ronge l'identité de notre belle ville.
Pauvre France...
son compteur electrique?
Signaler RépondreCelui de Diogène et celui d 'un bar à vin , qui risque de tourner vinaigre m 'a on dit .
Signaler Répondreil faut mobiliser la ligue anti alcoolique sur ce coup !!!
Maia ôte toi de mon ombre
La culture contre le pinard pour des touristes en goguette . Qui va gagner à votre avis ?
C 'est vrai que Pradel voulait y faire un autoroute , il avait perdu . Rien n 'est perdu alors ?
Au lieu de signer une pétition acheter des livres bande abrutis
Signaler Répondre"Une aide d'urgence de 6 millions d'euros vient d'être débloquée par Laurent Wauquiez pour accompagner les boulangeries".
Signaler RépondreCombien pour la librairie patrimoniale et historique Diogène ?
Une honte supplémentaire pour nos politiciens Lyonnais élus !
Signaler RépondreLyon capitale de l'imprimerie au XVIé siècle. Dans un local adapté et qui fait honneur, dans une rue touristique, une librairie indépendante de livre anciens et d'estampes.
Bizarrement des subentions distribuées en veux tu : en voilà, mais pour une boutique patrimoniale : RIEN.
C'est comme cela que va mourrir petit à petit notre identité nationale, notre patrimoine, notre histoire, ce qui nous définit et nous donne une identité de Lyonnais.
A quand la pression de financiers pour que disparaisse les bouchons Lyonnais, notre gastronomie ?
Pour remettre le débat dans un cadre plus sérieux, nous sommes dans le cadre d'un litige de droit immobilier et droit commercial entre 2 sociétés à but lucratif.
Signaler RépondreJ'imagine qu'il y a des critères objectifs pour calculer l'indemnité d'éviction, comme celui du montant du loyer que j'aimerais bien connaitre car à mon avis il est faible ?
Sinon vous avez déjà vendu une bibliothèque chez Diogène ? Je l'ai fait, comportement arrogant et sans concessions, le prix d'achat se situe entre 5% et 10% du prix de revente, cela permet de belles marges.
Diogène a choisi la voie du contentieux au lieu de le régler à l'amiable ?
Diogène a choisi de mettre le dossier entre les mains de la Justice, qu'elle fasse confiance à la justice de notre pays.
Vouloir mettre faire pression sur la Justice avec une pétition, je ne trouve pas cela très républicain, et en plus c'est très peu apprécié des Juges qui doivent trancher en toute indépendance.
J’apprécie beaucoup cette librairie. Toutefois, il faut admettre que le propriétaire ne fait qu’exercer son droit ! Et le locataire connaissait parfaitement ces conditions inscrites dans le bail
Signaler RépondreIl n’y a plus qu’à espérer que le buzz et le bouche à oreille permette de leur trouver un nouveau local sympa !
On peut même rêver d’une solidarité collective pour financer le déménagement :)
(Soit dit en passant, gérer une boîte en étant locataire, donc pas définition amené à déménager, sans provisionner les coûts associés : grosse faute de gestion !)
Où es-tu NPG ?
Signaler RépondreC’est pas d’importance culturelle ? Moins que le prospectus géant Le Petit Butin ?
Il faudrait déjà faire une pétition pour la faillite française et la misère sociale qui touche les français.
Signaler Répondrec'est sûr qu'une soixantième gargote à touristes rapporterait bien plus au proprio que ce magnifique bouquiniste (et unique à Lyon ) . A bas la culture et vive la bouffe.
Signaler RépondreOn s'en passera largement. Gardons l'énergie et l'argent pour des choses importantes.
Signaler RépondreMaïa ceux qui la grosse maison à coté du restaurant tête d’oie ? privatisation , évènementiel destiné uniquement à une minorités de personne aisé ou politique... il y a parfois des comportement de vie qui sont fou.
Signaler RépondreUne lutte inégale entre la culture et la spéculation !!
Signaler RépondreIl faut impérativement résister, sans quoi le quartier ne proposera plus que des boutiques de friandises, qui, comme à Londres, ne servent qu'au blanchiment...
Signaler RépondreQuel dommage ... Cette librairie est un régal, avec ses dédales ...
Signaler RépondreMais pour le coup, le propriétaire est dans son droit ... Pas facile :-(
J'ai signé pour le principe, mais bon...
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