Mi-décembre, le fils de Monsieur Paul a saisi la justice car l’Institut du même nom basé à Ecully aurait utilisé son patronyme de manière abusive. Jérôme Bocuse a ainsi reçu un grand soutien de la part de Thierry Marx, président de l’Union des Métiers et Industries de l’Hôtellerie (UMIH). Ce dernier rappelle que "l’Institut doit rester la source de ces jeunes talents prometteurs".
Dans un secteur qui "manque cruellement" de professionnels, Thierry Marx ne veut pas de superficiel : "Nous avons besoin d’écoles de formation dans le respect d’une cuisine simple et authentique prônée par Paul Bocuse."
Un second soutien de marque s’est ajouté au premier, celui de Thierry Fontaine, président de l’UMIH du Rhône. Pour lui, il est important de savoir rester sobre : "Former une élite, oui, mais une élite de Chefs de partie, de Seconds, pour répondre à la réalité du terrain."
Ces deux syndicats appellent ainsi l’Institut à "promouvoir des enseignements qui prennent en considération les attentes des professionnels du secteur".
Bonjour,
Signaler RépondreJérôme Bocuse s'est rendu compte que l'Institut Paul Bocuse avait tendance à utiliser le nom de son père pour faire du business dans son coin (et garder les revenus pour lui).
En 2010, l’Institut Paul Bocuse aurait permis à AirFrance de renommer sa classe affaire en Bocuse et à une clinique de la région lyonnaise d’avoir des plateaux-repas à son nom. D’autres utilisations abusives auraient eu lieu avec le temps, notamment des produits surgelés avec une recette Bocuse. Jérôme Bocuse n’aurait pas donné son accord pour que son nom soit utilisé sur ces différents produits.
Quelq'un aurait la gentillesse de m'expliquer précisément les faits concernant cette affaire : étant lyonnaise expatriée ayant fait la connaissance et apprécié Monsieur Bocuse lors de mon mariage il y a quelques décennies. Merci
Signaler RépondreL'institut n'a pas respecté le contrat, il a utilisé frauduleusement le nom à l'insu de l'intéressé.... et vous voudriez que JB accepte ça ?
Signaler RépondreEt pourquoi pas des chaussettes Bocuse sous licence de l'Institut....
JB ne saborde rien du tout ! AU CONTRAIRE ! Il protège son nom et sa réputation en ne laissant pas n'importe qui abuser de sa confiance et se servir de son nom sans qu'il ait un droit de regard sur l'usage qui en est fait !
C'est d'ailleurs bien pour ça qu'il y avait un contrat très clair ! POUR SE PROTÉGER DES ABUS !
Vous êtes en plein délire et vous vous faites un film ! JB n'a pas besoin de l'Institut, c'est LUI qui a le nom !..
Demain il fait fermer celui-là pour escroquerie et violation des règles commerciales.... et il en ouvre un autre avec une autre équipe manageriale en l'appelant "École Bocuse" et Basta ! Et OUT l'Institut !
Je suppose sans peine que c'était déjà vous avec votre "abus de pouvoir de nuisance" et vos délits fantasmés... Limite ce serait JB qui serait condamné.... NON ? Franchement, cessez d'essayer de penser.. ce n'est vraiment pas votre truc !
À mon avis; l'UMIH et Thierry Marx connaissent le sujet non ? Mais vous pouvez toujours aller leur prodiguer vos conseils.
Signaler RépondreLe fils Bocuse n'a pas compris qu'il agissait contre ses propres intérêts en attaquant l'institut qui porte le nom de son père ! L'Auberge du pont de Collonges a déjà perdu une étoile ; une fois l'institut débaptisé, le rayonnement et le prestige du nom « Bocuse » déclinera d'autant plus.
Signaler RépondreDans 10 ans, Bocuse, qui incarnait jusqu'à présent la Tradition culinaire française, ne sera plus qu'un restaurant parmi d'autre car son fils aura été incapable de gérer et de préserver ce patrimoine. C'est triste de voir Bocuse se saborder de la sorte ; Jérôme Bocuse n'a aucune vision !
Une belle brochette d'ordures,tous ces gens là.
Signaler RépondreC'est assez bâclé et sans aucune saveur comme article !
Signaler Répondrec est dommage pour un sujet sur la gastronomie .
...Vous deviez aller chercher le petit chez la nourrice et vous n avez pas eu le temps de finir ?