Dans quel état se trouve l'Académie de Lyon ? En France, les classes sont surchargées avec en moyenne 26 élèves, contre 21 en moyenne en Europe. "Nous avons un nombre d'élèves par classe inférieur à la moyenne nationale avec 22 élèves, même dans les classes d'éducation prioritaire avec 12 élèves", se félicite le recteur Olivier Dugrip.
L'une de ses priorités est désormais de continuer à "renforcer la mixité sociale dans tous nos établissements, nous utiliserons tous les moyens qui sont mis à notre disposition".
Selon Olivier Dugrip, "la mixité est un gage de réussite pour la totalité des élèves. (...) Nous sommes très ambitieux parce qu'il reste encore à faire sur notre territoire".
Le recteur a également évoqué le cas du futur collège polémique entre Vénissieux et Saint-Fons, ainsi que la réforme des filières professionnelles qu'il pilote et dont il doit dévoiler le contenu à Elisabeth Borne d'ici quelques semaines.
Les Coulisses du Grand Lyon sont à retrouver tous les jours à 12h sur LyonMag.com et sur la chaîne Youtube de LyonMag.
00:00 Situation dans l'Académie de Lyon
03:32 Difficultés de recrutement
05:32 Mesures pour améliorer la mixité
08:25 Exemples de Toulouse et Dijon
09:50 Collège entre Vénissieux et Saint-Fons
11:29 Fuite vers les établissements privés
13:21 Réforme des filières professionnelles
à l ouest!!toujours à l ouest!!
Signaler RépondreJe remarque que sur votre site, la première photo plein écran montrant une classe : aucun enfant blanc, seul le prof l'est. Est-ce votre concept de mixité sociale chez no ghetto ? Affligeant comme d'habitude.
Signaler Répondre... on s'en fout de votre priorité politique anti-ségrégationniste et du wokisme ramèné à l'enseignement ... ce n'est pas le sujet...
Signaler RépondreLe sujet c'est le rôle de l'école, à savoir l'acquisition de connaissances, l'apprentissage de la réflexion, le développement de l'esprit critique, l'optimisation des compétences, etc...
Le rôle de l'école n'est pas l'égalitarisme mais au contraire le développement des capacités spécifiques de chacun, c'est donner à tous les outils de base pour exploiter au mieux ses aptitudes individuelles..... Or, même si la ségrégation n'est pas acceptable, elle est un combat politique et idéologique et non pas une mission de l'école.. Quoi que vous en disiez, on ne fera jamais d'un âne un cheval de course... quelles que soient ses origines sociales ou ethniques. La médiocrité existe partout et dans tous les milieux et si je vous rejoins sur l'inacceptabilité de la ségrégation sociale ou ethnique, je diverge quant à une mixité sans prise en compte des capacités intellectuelles et des niveaux de chacun... Je suis pour une sélection sur des bases OBJECTIVES relatives aux connaissances et niveaux scolaires quand visiblement vous priorisez la mixité sociale et ethnique au dépens de ces derniers. Répartir la médiocrité sur ces bases n'est pas un objectif à mon sens recevable, la conséquence en étant un nivellement par le bas pour des raisons idéologiques. A l'école, le "tri des élèves" (sans péjoration) DEVRAIT se faire uniquement sur le niveau scolaire, c'est la meilleure garantie de donner à chacun l'enseignement le mieux adapté à ses capacités.
Je reconnais qu'hélas nous sommes loin de cette "égalité de chances" mais votre solution préconisée ne résoud en rien cette injustice, c'est encore et toujours "l'excuse sociale" ressortie en boucle comme cause de tous les échecs personnels. Or les contre-exemples pullulent... Pour exemples, Rachida Dati, issue d'un milieu dévalorisé, devenue Ministre d'un côté et de l'autre Simon Castaldi, issu d'un milieu privilégié, qui est très loin d'avoir inventé le fil à couper le beurre.
Votre vision ethnico-sociale du problème est réductrice et inappropriée, elle ne devrait même pas intervenir dans la définition de la mission de l'Ecole.
Ce brave homme, garant d’un système en échec, ne peut pas dire autre chose! Mais cela ne trompe personne, les « pour » et les « contre »….m
Signaler Répondrehé ben... à lire tous ces commentaires, on se rend compte que notre combat pour plus de mixité sociale et d'origine, c'est pas gagné !
Signaler RépondreBon, on vous laisse lire notre blog pour enrichir un peu vos connaissances et vous inciter ensuite à débattre de manière plus sereine !
no tiret ghetto point fr
(tu laisses passer ce com', le modérateur, stp ?)
Mais nous en sommes encore là ? Le même enfumage depuis Mitterrand ?
Signaler RépondreDe la même manière macron veut implanter les migrants dans les campagnes
Signaler RépondreTout a fait vrai.
Signaler RépondreEt il est utopique de croire que la mixité sociale dans les classes a des effets bénéfiques et est un gage de réussite M. Le recteur Cela releve de l'illusion mais certainement pas di realisme. A contrario des classes de niveaux (avec mixité sociale) permettant une progression différenciée et adaptée en fonction du niveau des élèves serait bien plus judicieux avec effectivement des effets bénéfiques . La nature est par définition inégale alors plutôt que de se voiler la face et forcer les choses plutôt accompagner nos différences intelligemment. Cela permettrait d'éviter par ailleurs l'hémorragie du public vers le privé....vous avez les symptômes, le diagnostic , reste plus qu'à appliquer le bon remède.
Il a raison, la mixité sociale va finir par faire baisser le niveau des rares élèves qui ne sont pas encore nuls.
Signaler RépondreTout le monde aura le même niveau... mauvais.
Mais le recteur s'en félicitera.
non c est faux c est juste le nivellement par les bas il suffit de regarder. le classement des écoles et des niveaux des petits français
Signaler Répondrede ce fait les écarts se creusent ceux qui peuvent mettent leurs enfants dans le privé
Le logement social ce n'est pas que "dealers et voyous" hein, d'autant que les dealers vivent en cité (protection contre la police et les autres bandes). Non, ce sont essentiellement des gens pauvres et vu les prix à Lyon... Par contre, effectivement la mixité ne fonctionne pas.
Signaler RépondreHeureusement très peu de personnes ne sont dupes de ce genre de discours. La mixité ne peut réussir que si elle est voulue et choisie. On peut dire tout ce qu’on veut, on ne peut pas forcer les gens à s’apprécier, et c’est d’autant plus difficile s’ils sont très différents. Les mettre tous ensemble en espérant égalité et fraternité, c’est au mieux de l’utopie, au pire une vaine tentative de défendre l’indéfendable.
Signaler RépondreLes ÉLITES mettent leurs enfants dans des écoles en Suisse où ils vient en internat et en sortent au moins ambassadeur ou l’équivalent en commençant leur carrières. Des écoles qui coûtent si cher , que seul le gratin de ce monde peut se payer 💰 pour faire réussi a 100/100 leur progénitures. Les ÉLITES et les peuples ne vivent pas dans le même monde . Il appartient aux Uns et il est Loué aux autres !
Signaler RépondreOù sont les enfants de la personne la mieux informée à ce sujet : le ministre de l'éducation nationale?
Signaler RépondreLes grands discours pour les enfants des autres, on connait!
La mixité sociale,c'est ce que nous fuyons pour nos enfants:des établissements ou les bien élevés sont avec des délinquants,ou les bons élèves sont avec les mauvais.Dans ces établissements,on vise l'égalité,donc c'est forcément vers le bas.C'est pour cela que l'on met nos enfants dans le privé.C'est pareil pour la mixité sociale immobilière.Qui a envie de vivre au milieu de dealers et de voyous?Il vit où cet homme?Ses enfants vont à l'école dans une cité?
Signaler Répondreben voyons …
Signaler RépondreOu d'une fosse ;-)
Signaler RépondreTout est dit.
Signaler RépondreIl n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir...
Signaler RépondreCe qui dérange vraiment tout ce beau monde, c'est que tout ceux qui le pouvaient ont fui vers le privé, justement pour échapper à cette mixité tant vantée. Du coup, les écoles publiques ont un niveau tellement bas (sans compter la violence) que ça ne peut plus être caché...
Seule solution trouvée par nos têtes pensantes... détruire le privé aussi, à coup de "mixité" imposée.
Ne resteront plus que les écoles hors contrats, avec tous les risques que cela comporte.
C'est d'autant plus terrible que "privé" ne veut pas dire "réservé aux riches" : dans le collège privé de mes enfants, les tarifs sont fonction du coefficient familial, et les frais de scolarité vraiment très bas pour les faibles revenus : les enfants d'ouvriers y ont tout à fait leur place.
Mais les deux différences principales avec le public, et c'est ce qui change tout, sont que :
- ceux qui sont là, le sont parce que leurs parents les suivent, s'en occupent et se préoccupent de leur travail scolaire, quel que soit leur niveau scolaire ou social.
- ceux qui font le bazar sont exclus et ne viennent donc pas pourrir les classes.
Je ne dis pas que le privé est la panacée, mais nos énarques ont détruit le public de manière si complète que c'est désormais la seule solution...
à faire le grand ecart entre ce qu on dit et ce qu on fait ,on se casse la gueule!
Signaler RépondreReste a preciser les objectifs. Si c'est former des génerations de cretins incapables de passer les epreuves d'entrée en 6eme d'il y a 60 ans alors qu'ils sont en classe de 4eme (experience vecue) alors c'est une réussite totale
Signaler Répondrec est une marque de pneus d hiver?
Signaler RépondreC'est pour cette raison que les enfants du ministre sont à l'école alsacienne ?
Signaler RépondreQuel menteur ! Les collèges sont à 30 par classe, les lycées à 35 ou plus.
Signaler Répondrepermettez moi d’être sceptique.
Signaler RépondrePersonnellement je met mon enfant dans une école privée avec que des blancs. Et ça se passe très bien. Les élèves ne poignardent pas les professeurs pour une mauvaise note ou si ceux-ci ont osé leur faire une réprimande.
Signaler RépondreOn en est là.
la mixité sociale, c'est davantage le nivellement par le bas que la réussite pour tous, il ne peut en être autrement ..
Signaler Répondretout le monde a à perdre avec ce type de projet, les meilleurs élèves comme les plus faibles
J'aimerai bien savoir où il a mis ses enfants à l'école...
Signaler RépondreLa mixité = le foutoir en France, ça s'est prouvé depuis de très nombreuses années avec aucune politique ni moyen accompagnant cette doctrine. Ce n'est pas en balançant à l'aveuglette un quotta d'une classe sociale avec une autre que les problèmes vont se résoudre...
Oui la mixité c'est génial sauf pour les enfants du ministre de l'educ naze !
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