La fréquentation est en forte hausse par rapport à 2021 (+86%), mais reste encore légèrement en dessous de 2019, dernière année pleine avant le Covid-19 (671 077 visiteurs).
Depuis son ouverture il y a huit ans, le Musée des Confluences a attiré plus de 5 millions de visiteurs. Le cap a été franchi en 2022.
Dans le détail, l'institution culturelle annonce que 68% des curieux accueillis sont originaires de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Et seulement 10% sont des touristes étrangers.
55% des visiteurs sont des primo-visiteurs. "La fidélisation reste néanmoins élevée, se défend le musée dans un communiqué de presse. 22% sont des visiteurs réguliers, déjà venus au cours des 12 derniers mois".
Le public est en majorité familial, seulement 17% des visiteurs viennent au musée des Confluences sans être accompagnés.
L'exposition temporaire qui a connu le plus de succès en 2022 est sans conteste L'Oiseau rare, de l'hirondelle au kakapo, avec 651 412 visiteurs, dont 423 915 l'an dernier.
La Piste des Sioux a intéressé 283 786 personnes en 2022. A noter que Jusqu'au bout du monde, regards missionnaires, pourtant installée plus longtemps que les Sioux, n'a attiré que 110 947 visiteurs.
En 2023, trois nouvelles expositions temporaires poseront leurs valises sur la pointe du 2e arrondissement de Lyon : Marc Riboud, 100 photographies pour 100 ans (24 février), Afrique, milles vies d'objets (9 juin) et A nos amours (20 octobre).
Il a coûté 300 millions d'euros et coûte plus de 15 millions à la collectivité chaque année (si ce n'est plus et en comptant les entrées payantes).
Signaler RépondreIl est temps de mettre fin à cette gabégie inutile. Ce musée devrait être détruit (il le sera sûrement par l'usure prématurée).
Déjà le Bâtiment, pourtant sur un site exceptionnel, est Fallot et peu attirant: genre serre à tomates, poireaux et autres; comparez par exemple avec le Superbe Musée Guggenheim à Bilbao…..Même s’il y a de jolies et intéressantes expositions parfois le lieu manque totalement de forme intéressante et d’ampleur: le choix architectural ne fut pas très pertinent
Signaler RépondreOn ne peut mettre la faute sur le dos de Doucet, qui n’était pas là, mais dans l’Humanitaire dans lequel il devrait Vite retourner puisqu’il n’aime pas Lyon et ne comprend pas les lyonnais: une courageuse démission aurait du Panache !!!
En effet, une baisse de 2 et demi pourcents, peut être interprétée différemment suivant qu’on soit un optimiste ou un défaitiste.
Signaler RépondreVous, vous semblez plutôt dans le camp des complotistes…
Avec autant de subventions de la métropole et de l'état, pas besoin d'avoir des clients. Donc pas besoin de se casser la tête pour faire des animations sympas ..
Signaler RépondreOui voir l'histoire de 50 ans de combat pour le droit des femmes dans notre pays patriarcale ou l'histoire des fleuves. Euh comment vous dire ???
Faites des trucs intéressants pour que les gens viennent ...
De plus l'entrée du musée Guimet était gratuite...
Signaler RépondreUn des deux est forcément un fake, à moins que ce soit l'influence macronienne qui dit tout et son contraire en prétendant que les deux sont vrais, du genre "je suis malade et en bonne santé à la fois" ?
Signaler RépondreDans la cadre de la biennale d'AC, je suis entré dans l'ancien musée Guimet et finalement je me suis demandé : était ce vraiment nécessaire de construire ce nouveau musée ?
Signaler Répondre* l'ancien bâtiment est très beau mais demandera de la rénovation
* le nouveau a coûté des cher et coûte annuellement très cher aussi
Au final, nous (lyonnais) allons devoir payer la rénovation de l'ancien pour en faire quoi (probablement une nouvelle lubie de notre administration) et le nouveau musée.
Deux manchettes sur le même sujet - et deux avis inverses
Signaler Répondrehttps://www.lyoncapitale.fr/actualite/lyon-retour-a-la-normale-pour-la-frequentation-du-musee-des-confluences
https://www.lyonmag.com/article/127897/lyon-la-frequentation-du-musee-des-confluences-n-a-pas-encore-retrouve-le-rythme-d-avant-covid