La collectivité présidée par Bruno Bernard souhaite devenir site pilote d'action prioritaire dans la Vallée de la Chimie.
"Si la Métropole se félicite que le gouvernement présente un plan d’actions sur les PFAS, elle regrette qu’il soit encore trop peu ambitieux. En partenariat avec les citoyens, les collectivités, certains industriels, les experts-scientifiques et les chambres d’industrie, elle souhaite promouvoir la création d’un Institut éco-citoyen qui puisse assurer une veille sur la pollution des sites industriels de la vallée de la Chimie et ses impacts potentiels sur la santé. La Métropole demande au gouvernement d’allouer plus de moyens pour les contrôles et d’accélérer la transposition des directives européennes en la matière. Elle souhaite aussi placer les industriels de la chimie face à leurs responsabilités et leur demande de devancer les obligations qui leur sont faites de retirer les PFAS de leur production en 2024, et de faire en sorte que les substituts ne soient pas rejetés dans l’environnement sans traitement préalable", indique-t-elle dans un communiqué de presse.
Réclamant davantage de transparence sur cette pollution, la Métropole en a profité pour demander à l’Etat "de mettre en place un arrêté d’interdiction d’utilisation de pesticides dans les zones les plus vulnérables. Sur les rejets industriels, la Métropole est intervenue en octobre dernier auprès d’un fabricant de cosmétiques industriels, appliquant ainsi le principe de précaution, pour une suspension immédiate de ses rejets dans le réseau d’assainissement afin de garantir la sécurité des personnes et de l’environnement".
Vite, une commission ....
Signaler RépondreEn général, quand on passe son temps à taper sur quelqu'un, on ne vient pas lui demander de l'aide ensuite...
Signaler RépondreAvec ces grands groupes en face ça sera très difficile, du moins à moyen terme, et d'ici là ils auront dégagé ces pseudos politiques.
Signaler RépondrePlusieurs pays européens ont déposé un projet de "restriction" de ces substances perfluorés (PFC) et polyfluoroalkylés (PFAS., "La priorité des autorités françaises est l'aboutissement du processus d'interdiction en cours au niveau européen, pour supprimer les risques liés aux PFAS", a souligné le ministère de la Transition écologique .
Signaler RépondreLa production depuis 50 ans de ces produits pratiquement indestructibles contaminent air , eau , sol et se retrouvent dans nos aliments puis dans notre corps .
la Métropole de Lyon veut devenir site pilote d'action prioritaire en dépense public pour ruiné la ville de Lyon !
Signaler RépondreVous allez voir que toutes ces gesticulations vont encore déboucher sur des contraintes pour les particuliers sans que les industriels agitant le drapeau de la compétitivité ne soient inquiétés...
Signaler RépondreDe l'écologie à la lyonnaise, comme d'habitude...