Lors de ce point presse, aux côtés du préfet du département Pascal Mailhos, il a notamment été question de la Cellule d’Évaluation de la Minorité implantée à Lyon dans les locaux de la police aux frontières (PAF) depuis environ un an. Ce service a comme mission de s’assurer que les délinquants qui prétendent être mineurs sont bel et bien âgés de moins de 18 ans. Régulièrement, des interpellés assurent en effet être mineurs pour éviter de plus lourdes condamnations.
"Quand il y a un doute, je co-saisis la police aux frontières et la DDSP du Rhône", explique Nicolas Jacquet, le Procureur de la République à Lyon. Les agents de la PAF vont ainsi examiner le parcours des mis en cause dans des affaires graves, violences notamment, et tenter de déterminer leurs âges sur le temps de la garde à vue. C’est dans ce cadre qu’un passage à l’hôpital peut être décidé pour réaliser des examens : radios des dents et d’un poignet ainsi qu’un scanner des clavicules.
Au total, sur les 144 procédures lancées en 2022, seuls 7 mineurs ont été trouvés parmi les gardés à vue dont les parcours ont été analysés. Pour 116 des cas, il s’agissait donc de majeurs, soit environ 80% des dossiers litigieux. Enfin, 21 cas n’ont pas eu de réponse précise, et ont donc été traités comme mineurs par défaut. Ces 116 dossiers ont ensuite débouché sur 86 obligations de quitter le territoire, 73 interdictions de retour, 70 assignations à résidence ou encore 3 placements en centre de rétention administratif, selon le Parquet de Lyon qui évoque "un dispositif fort".
En parallèle, la Sûreté Départementale (SD) réalise aussi des investigations pour mener des évaluations de minorité, ou en d’autres termes "des fiabilisations des identités", d’après la préfecture. Sur 690 demandes formulées par la SD entre mai 2021 et décembre 2022, 344 ont permis de déterminer qu’il s’agissait de personnes majeures, contrairement à leurs déclarations. Les enquêtes passent notamment par l’envoi des empreintes, via Interpol, aux pays d’origine potentiels des suspects. Un temps d’investigation plus long que celui restreint d’une garde à vue.
Après l’annonce de ces résultats, la préfecture du Rhône note donc une amélioration de la sécurité dans le quartier de la Guillotière, particulièrement touché par le phénomène des mineurs non-accompagnés (MNA). D’après les autorités, le nombre de délits commis par des MNA a baissé de 30% en 2022 par rapport à 2021, dans le Rhône, passant de 2385 à 1649. Leur participation dans les actes de délinquance a également chuté de 2,8% en une année.
Sur le terrain, effectivement, le marché de la misère de la place Gabriel-Péri semble avoir été définitivement déboulonné grâce notamment aux CRS en faction presque tous les jours dans le périmètre de la "place du Pont" et à "l’action spécifique", selon Pascal Mailhos, réalisée dans les rues de la Guillotière.
J.D.
Oui c'est sur
Signaler RépondreMais dans ces cas là tu respectes la loi !
Tu fais profil bas et tu t'integres tranquillement !
Arrêtez votre angélisme aveugle !!!!
nos codes ,us et coutumes
Signaler RépondreTant que des gens vivront dans des contrées invivables, vous aurez toujours de nouveaux arrivants.
Signaler RépondrePersonne ne demande à naître où il est né. C'est la loi de la nature.
Certains naissent dans de bons pays, d'autres dans des mauvais, alors, que tout un chacun cherche le meilleur pour son avenir. La vie est ainsi faite.
un poly mono!......pardon :un monopoly!
Signaler Répondreun tsunami!
Signaler Répondre144 mineurs non accompagnés mis en cause en 2022, c'est une goutte d'eau dans l'océan des mineurs délinquants dans le Rhône. Une affaire anecdotique.
Signaler Répondrepolygame!
Signaler Répondreles octogénaires mineurs d’Afrique du Nord vont-ils arrivés ?
Signaler Répondrepas grave mais ceux de 20 à 40ans courent plus Vite: ennuyeux
et + dangereux !!!
une cellule pour les mineurs sans papiers ça serait mieux!!!!!
Signaler Répondrepolymorphe!
Signaler Répondrepolydent
Signaler RépondrePendant ce temps ils sont allé en rechercher...
Signaler RépondreDes mineurs non accompagnés de 45 ans à Marseille, il y en a des milliers...
Signaler RépondreQue des frères, Algériens, tunisiens, marocains, lybiens, égyptiens, mais aussi des cousins
congolais, sénégalais, maliens, afghans, syriens, soudanais, mauritaniens, turcs, palestiniens, ivoiriens, Nigerians, et curieusement tous sont des mineurs fragiles
1m90, 85 kilos, grosse barbe, des bras puissants, quelques rides sur le front.
En tant que "mineurs" ils ne peuvent pas travailler, alors ils vont à la mosquée.
Ils ne sont peut-être pas fiables à l’année près mais on en est plus là : y’a des mecs de plus de 30 ans dans le tas. Perso, je suis pour le partage mais je veux que les ordures qui agressent, volent etc. dégagent ! Les autres seront mieux accueillis.
Signaler RépondreIl y a l'encombrement des urgences et autres services de l'hôpital public.
Signaler RépondreMais pas seulement !
Savez-vous que les juridictions civiles et services administratif sont plus qu'encombrés ?
En connaissez-vous la cause ?
Les demandes d'asiles et autres procédures liées au contentieux de ces demandes !
Au global et au plan national, cela représente 75% des procédures !!!!
Par voie de conséquence, les délais s'allongent et des fonctionnaires sont déplacés des services de l'état civil, ce qui occasionne des délais très important pour la délivrance de documents officiels, tels que CNI, passeports etc.
La macronie cache cette réalité.
Je comprends mieux l'attente à l'hôpital, si faut faire des radios des dents, clavicule et je ne sais quoi à tous les migrants de France, le bon vieux français lui il doit attendre sagement sa mort
Signaler RépondrePolygraphe, c'est plus approprié !
Signaler Répondre116 dossiers ont ensuite débouché sur 86 obligations de quitter le territoire, 73 interdictions de retour, 70 assignations à résidence ou encore 3 placements en centre de rétention administratif, selon le Parquet de Lyon qui évoque "un dispositif fort".
Signaler RépondrePeut-on savoir combien ont quitté le territoire vu que c’est une obligation ?
Foutage de gueule
Il n’y a qu’à réquisitionner " l’océan viking " pour les reconduire d’où ils viennent
polyglotte
Signaler RépondrePourquoi ne pas utiliser, comme dans la police américaine ,le polygraphe ?
Signaler RépondreEt votre cerveau en coupe = le vide abyssal
Signaler RépondreLes agents de la PAF vont ainsi examiner le parcours des mis en cause dans des affaires graves, violences notamment. A partir du moment ou ils commettent des actes graves l’expulsion est légitime et doit sa faire immédiatement, mineur ou pas, c’est un choix qui devons-nous nous protéger des gens d’une extrême violence ou la population ?
Signaler RépondreA la base , ce sont quand même tous des délinquants.
Signaler Répondreles annneaux de croissance en technique de dendrochronologie
Signaler Répondre"déjà mué" ne veut rien dire, c'est votre langage à vous sur la base de votre appréciation.. Et la taille n'a rien à voir avec l'âge osseux.... En clair vous n'avez pas fait de test osseux et donc ne savez rien de son âge osseux...
Signaler RépondreOn continue dans la "fumisterie" !
Signaler RépondreIls sont nombreux à se déclarer mineurs ces gens avec leur système pileux très développée au menton et leur calvitie déjà bien avancés.
Signaler RépondreJ'ai un neveu qui a 12 ans avait déjà mué, et mesuré 1.75 , alors les tests osseux nous paraissent aléatoires et peu fiables.
Signaler RépondreAh, on l'attendait cette excuse bidon !
Signaler RépondreCes tests sont fiables.
Mais on se doutait bien qu'une telle pratique n'allait pas plaire à nos escrologiques démago !
Comment ils vont faire pleurer dans les chaumières maintenant ?
Bientôt les mineurs isolés avec des cheveux blancs et une cane ;-)
Signaler RépondreCes tests sont tout à fait fiables... C'est juste qu'il y a une marge d'erreur de l'ordre de 3 ans... et donc une incertitude pour les mineurs de 15 à 18 ans et pour les majeurs de 18 à 21... Mais quand un test osseux donne par exemple un âge de 22 ans ou plus .. Il n'y a aucun doute : il s'agit FORCÉMENT d'un majeur !
Signaler RépondreC'est normal, ce sont des cas où l'on pouvait raisonnablement douter.
Signaler RépondreEt donc quand il n'y a pas trop de doute, on ne fait pas analyser.
Donc avec les 7 cas sur 144, les policiers font au contraire un excellent boulot préliminaire, confirmé par les résultats.
si c'est fiable si on applique la méthode du tronc d'arbre , il faut regarder l os en coupe
Signaler RépondreUn référendum sur l'immigration, ça serait sympa non?
Signaler Répondreen tout cas ça arrange tout le monde de le croire !
Signaler Répondreles pseudos humanistes peuvent dormir avec l'esprit en paix sans se poser la question de ce que ça implique
On le sait tous qu’ils ne sont pas mineurs, il n’y a qu’en France ou la gauche s’offusque lorsqu’on demande l’expulsion des clandestins, migrants ayants commis crimes et délits, il n’y a qu’en Europe ou on refuse d’expulser un assassin dans son pays car LUI risque sa peau, par contre ça ne les dérange pas de risquer la peau de centaines d’indigènes, on impose l’insécurité a une majorité et ils appellent çà les droits de l’Homme ? Véritable injustice et scandale les peuples n’ont pas le droit aux droit l’homme ?
Signaler Répondresur les 144 procédures lancées en 2022, seuls 7 mineurs ont été trouvés parmi les gardés à vue dont les parcours ont été analysés. Pour 116 des cas, il s’agissait donc de majeurs, soit environ 80% des dossiers litigieux. Enfin, 21 cas n’ont pas eu de réponse précise, et ont donc été traités comme mineurs par défaut.
7 sur 144 trouvés mineurs! Moins de 5 %!
Signaler RépondreCherchez l'erreur!
Des jeunes couillons venant de pays où l'on sait historiquement que la vérité n'existe pas et le mensonge est roi, explique fièrement qu'il est mineur, qu'il n'a rien fait, et nous naïf, on devrait les croire
Signaler RépondreDepuis des dizaines d'années, la technologie médicale permet de savoir rapidement l'âge d'une personne
Les faux mineurs doivent être reexpedies dans leur pays d'origine, ils seront plus utile la bas , leur nation à besoin de cette jeunesse
Pour les autres ont les raccompagnent avec les services sociaux, aux services sociaux de leur pays afin qu'ils retrouvent leur famille
Ces tests osseux ne sont absolument pas fiables. Ces tests sont dénoncés de partout !
Signaler RépondreVos gouvernements successifs ont foutu un sacré bordel en France…merci à nos chers mentors américains !!
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