Le Bocuse d’Or s’est terminé ce lundi et a récompensé la française Naïs Pirollet dans la catégorie "Feed the Kids". Cette épreuve avait pour but de sensibiliser les enfants au goût et au "bien manger".
Dans le jury, cinq écoliers lyonnais étaient présents. Ils ont ainsi pu voter pour leur plat préféré parmi 24 dégustations. Ces enfants venaient ainsi de l’école Georges Pompidou dans le 3e arrondissement, l’école Cavenne dans le 7e, l’école Antonin Laborde dans le 9e et deux enfants venaient de l’école Simone Signoret dans le 8e. Tous sont volontaires et membres de la commissions "Restos des enfants" de leurs écoles.
"L’éducation culinaire est un enjeu primordial"
Chaque candidat devait créer un menu à base de courge. Plusieurs variétés ont été mises à leur disposition pour élaborer une entrée froide végétale, un plat chaud incluant un œuf et un dessert dans l’esprit de ceux servis au restaurant. La Ville de Lyon a annoncé dans un communiqué de presse qu’elle allait réutiliser le menu de Naïs Pirollet pour le servir dans les cantines scolaires.
Pour le président du Comité International d’Organisation du Bocuse d’Or, Régis Marcon, s’ouvrir le plus tôt possible à un grand panel de plats est important : "Nos premiers goûts se dessinent dès le plus jeune âge, l’éducation culinaire est donc un enjeu primordial face auquel les cuisiniers détiennent un rôle central."
Bravo à toi Naïs, tu iras loin.
Signaler RépondreSuper, je ne la connais pas et la découvre ùmais bravo à cette jeune fille qui a fait quelque chose d'immenses que peu d'entre nous auraient fait! bravo mademoiselle , votre avenir va être radieux car : vous le méritez, vous battez et et êtes dans la créativité ! soyez forte ....et bravo aussi à vos proches qui vous ont aidé à être au top
Signaler RépondreAh ! et c'est à la suite de cet incident que vous avez laissé tomber vos cours d'orthographe ?
Signaler RépondreLa France cinquiéme au Bocuse d'or c'est vraiment pas terrible !
Signaler RépondreQuelle chance..... pas de viande ! Content le cachectique petit Doucet.
Signaler RépondreLa première fois que j'ai entendu "éduquer au gout", c'était à l'inauguration du truc de la semaine du gout, j'étais au collège gabriel rosset dans le 7e, on nous a servis du jambon froid industriel nappé d'une sauce chocolat par dessus. C'était tellement immonde que j'ai vomis.
Signaler RépondreJe dis donc méfiance...
Bravo Naïs, Vous avez un belle avenir devant vous dans ce merveilleux métier.
Signaler RépondreVous êtes un exemple pour toute une jeunesse qui a peur des efforts et qui croit que tout est facile.
Toutes mes félicitations.