Monsieur Charles de Lacombe a publié une contribution sur votre site internet le mardi 24 janvier 2024 intitulée "Qui veut ‘fermer les locaux fascistes’ ?". Celui-ci indique la préfecture "a à de nombreuses reprises manifesté un laisser-faire coupable vis-à-vis des groupes fascistes".
Ces propos dénotent une méconnaissance manifeste de ce sujet et du travail long et minutieux réalisé par les services de l’État.
L’État n’a pas à rougir de son action contre les groupes radicaux violents. Les services de l’État, sous l’autorité du Préfet Pascal Mailhos, ont documenté et préparé les éléments permettant d’établir la procédure de dissolution administrative de Génération Identitaire par décret en conseil des ministres en mai 2021.
Dès septembre 2021, suite à la création des Remparts, le Préfet du Rhône a créé avec le Procureur de la République un groupe de suivi des groupes radicaux violents qui s’est réuni plus d’une dizaine de fois pour partager des informations et définir une stratégie commune pour entraver et mettre un terme aux agissements contraires à la loi.
En mars 2022, un contrôle administratif interservices de l’Agogé et de la Traboule a été initié par la Préfecture pour vérifier les conditions d’utilisation de ces locaux.
Face aux propos haineux tenus lors de la manifestation du 28 octobre 2022, le Préfet du Rhône a saisi Procureur de la République au titre de l’article 40 du code de procédure pénale.
La manifestation Lugdunum Suum prévue le 8 décembre 2022 a fait l’objet d’un arrêté préfectoral d’interdiction. Les forces de l’ordre sont intervenues pour empêcher tout risque de troubles à l’ordre public et la tenue d’actions de revendication interdites.
Une personne suspectée d’avoir organisé et participé, le 8 décembre dernier en marge de la fête des lumières, à une manifestation interdite, sera jugée le 21 mars 2023 pour "organisation d’une manifestation interdite par l’autorité préfectorale en raison de risques sérieux de troubles à l’ordre public".
Le 14 décembre en marge du match France-Maroc le dispositif de sécurité armé par la police nationale a permis d’interpeller 4 individus suspectés d’être issus de la mouvance d’extrême-droite. Comme annoncé récemment par le Procureur de la République, ils ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire.
Le 19 décembre 2022, un membre de l’ultra-droite a été déféré en vue de sa mise en examen dans le cadre des violences commises le 5 décembre à l’encontre de militants LFI.
Par ailleurs, le parquet a élargi les investigations en ouvrant des informations judiciaires pour identifier et interpeller l’ensemble des participants et organisateurs des violences avec, pour celles commises après France – Maroc, "la circonstance aggravante de violences à caractère raciste".
Deux autres militants d’extrême droite ont été condamnés successivement en première instance à Lyon le 13 juin 2022 à 18 mois d’emprisonnement dont 6 mois avec sursis, et le 13 octobre 2022 à 6 mois avec sursis et interdiction de détenir ou de porter une arme pendant 5 ans, pour des violences aggravées commises dans le cadre de leurs actions militantes violentes.
Enfin, des individus appartenant à la mouvance d’ultra-droite, mis en examen pour des violences commises en 2020 lors de la coupe d’Afrique des Nations, seront jugés les 15 et 16 juin 2023.
Le Préfet Pascal Mailhos salue le travail dense réalisé par les services de l’État que ce soit ceux de la préfecture ou de la police nationale pour interpeller et documenter, en vue d’une dissolution, à chaque fois que les groupes radicaux violents agiront à l’encontre de la loi. Il se félicite également de la très bonne coordination avec le Procureur de la République.
Pourquoi répondre à un petit activiste d’extrême-gauche ? Pourquoi répondre a des gens qui utilisent violences, insultes agressions dès lors qu’ils se sentent dépossédés d’une violence que seuls eux sont légitimes à exercer ? Les petits fachos de gauche commencent à gonfler sérieusement.
Signaler RépondreOn va pas se mentir, on voit bien plus de méfaits perpétrés et revendiqués par les remparts que la GALE.
Signaler RépondreEt la montée aux chandelles c'est pas du tout eux qui l'organisent, eux ils s'incrustent dedans et ceux sans autorisation d'y participer.
Pourquoi? Peut être car une trentaine d'entre eux sont fichés S et sont multirécidivistes.. mais bizarrement, vous voyez ces gens comme des héros plutôt que comme des délinquants et supposés terroristes.
Et je préfère que le préfet s'attarde sur les personnes commettant des agressions physiques plutôt que des gens qui tentent de brûler des drapeaux. C'est ce qu'on appelle "avoir le sens des priorités".
Et quid du bilan contre les groupuscules d'extrême Gauche ?
Signaler RépondreEt à quand un droit de réponse du groupe "Les Remparts" ? A moins qu'ils n'aient pas droit à la parole ?
Groupes radicaux violents d'après la préfecture: forcément de droite.
Signaler RépondreMr le préfet Mailhos, en partance pour une fonction dans le domaine du renseignement (de mémoire) répond à l'injonction d'un quidam sous 24 hres ! La République au garde à vous d'un anarchiste. Ca fait peur !
Qui est cet individu pour que le préfet le considère au-dessus des citoyens qui lui ont majoritairement répondu en lui reprochant son strabisme divergent vers la droite. De fait le préfet épouse ses vues et méprise ces personnes.
Mr le Préfet, faîtes votre travail d'une façon républicaine et occupez vous au moins autant des antifas, black bloc et autres islamo-gauchistes qui nous paraissent autrement dangereux que des citoyens organisant une montée aux chandelles à Fourvière.
Une question: avez-vous identifié les antifas qui ont tenté de brûle le drapeau français à Lyon, sous votre nez, le 19/01 ?
Voilà qui prouverait votre engagement à combattre les groupes radicaux violents.
L'ultra gauche, bien plus ultra et dangereuse est totalement libre de ses méfaits, c'est une honte.
Signaler RépondreMonsieur le Préfet, vous avez interdit la monté de fourvière par ces identitaires lors de la dernière fête des lumières.
Signaler RépondreCes identitaires sont venus malgré l'interdiction, ils ont montés fourvières, le tout escorté par des CRS.
je ne suis pas Fan de ces extrêmes droites, mais Quid des antifascistes et autre fange des pentes de la Croix-Rousse et d’ailleurs….? même traitement pour les mêmes penseurs car ils sont tellement Ultras que comme l’Equateur, ils se rejoignent mais alors qu’ils se battent entre eux sans Nous emm……!!!
Signaler RépondreEnfin, des individus appartenant à la mouvance d’ultra-droite, mis en examen pour des violences commises en 2020 lors de la coupe d’Afrique des Nations, seront jugés les 15 et 16 juin 2023. (le reste pas lu, pas intéressant, des mensonges, bref un truc écrit par un gauchiste = sans intérêt)
Signaler Répondrecool on peut avoir le nombre de clandos/immigrés/descendants de maghrébins qui ont été mis en examen pour des violences commises penfant la même CAN 2020 ? ah non je suis bête dans ce sens ça compte pas pour les fachos de gauche :)
-Et l'ultra Gauche dit Gale et antifa, on en ai où ?.
Signaler RépondreQuand je vois ça depuis le Boulevard des États-Unis, j'ai l'impression de vivre dans un quartier apaisé malgré les voitures brulées chaque semaine.
Signaler RépondreEnfin !!
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