Le Washoku est un terme utilisé pour évoquer la culture culinaire traditionnelle des Japonais. Cette culture culinaire sera pendant un mois, du 3 février au 5 mars, sous le feu des projecteurs à Lyon via plusieurs conférences, ateliers, concerts et performances artistiques. Des dégustations ainsi que des ventes de produits traditionnels japonais seront également proposées pendant toute la durée de l’exposition éphémère. En majorité gratuite, les activités seront accessibles par une simple réservation sur internet via le site washoku.fr.
Pour l'occasion, des chefs lyonnais, mais aussi japonais interviendront autour de plusieurs thèmes : "une alimentation japonaise saine et généreuse", "des terroirs uniques pour une diversité de mets", "de la vaisselle et des ustensiles pour sublimer les couleurs du Washoku" et "sur les plaisirs du saké". C’est la première fois que la Cité de la Gastronomie (CIG) met à l’honneur la gastronomie d’un autre pays et le choix du Japon n’est pas anodin puisque le "Washoku", tout comme la gastronomie française, est classé au patrimoine mondial immatériel de l’Unesco.
A l’origine prévue en octobre 2020, l’exposition a été repoussée et modifiée pour finalement voir le jour ce vendredi. Ce sont des discussions entre la ville de Lyon et la diplomatie japonaise qui ont permis d’aboutir à cette exposition telle qu’elle est aujourd’hui.
Kenji Kuratomi, consul du Japon à Lyon ainsi que Jérémy Camus, Vice-président de la Métropole de Lyon se félicitent de voir les prémices de cette exposition qui "ne sera pas une simple exposition" promet Jérémy Camus, "le mois qui va arriver verra des ateliers des conférences, des spectacles artistiques mais surtout des propositions pour pouvoir manger à la CIGV en particulier mettre à l’honneur l’une des spécificités de la cuisine japonaise : le Bento ainsi tous les jeudi un restaurant japonais différent installé à Lyon proposera une formule Bento à la Cité internationale de la Gastronomie", décrit-il. Ces repas individuels complets traditionnels de la culture japonaise seront proposés au prix de 14 euros, vous pourrez les retirer dans la Cité de la gastronomie les jeudis soir entre 18h30 et 20h.
Réouverte depuis octobre dernier, la Cité de la Gastronomie avait du mal à trouver son public au moment de son ouverture. Cette exposition a pour but de repenser la façon de voir la CIG. "Il y a l’idée d’amener beaucoup de propositions, c’est vrai que sur la première version de la Cité une de ces erreurs c’était ce côté très statique, plutôt muséal alors que la cité de la Gastronomie pour nous c’est un endroit où l’on doit venir vivre des expériences. Il faut que la Cité ne soit pas un endroit que l’on visite qu’une fois mais que l’on ait envie d’y revenir", explique le Vice-président de la Métropole. Il annonce d’ailleurs qu’à la suite de cette exposition "Washoku", d’autres expositions éphémères viendront prendre le relais avec "une programmation qui permettra tous les mois, 2 mois, 3 mois de proposer de nouvelles expériences aux visiteurs", assure-t-il.
C.R.
leur science
Signaler Répondrevotre suffisance
Signaler RépondreLe bento c'est un panier repas tout court.
Signaler RépondreOn en trouve à tous les prix et de toutes les qualités.
Mais libre à vous de raconter n'importe quoi.
aux influences exotiques (c est leur intelligence d ouverture d esprit)
Signaler RépondreJe ne mange pas de poisson cru!
Signaler RépondreEn France aujourd'hui la cuisine traditionnelle c'est le kebab.
Signaler RépondreC'est bien d'avoir cette chance immense, qui est de découvrir l'art culinaire japonais sur son raffinement et excellence .
Signaler RépondreLes pros Bocuse, vont vraiment pas trop aimer !
Le bento est le "panier repas" que les enfants mangent à l'école. Super dégustation.
Signaler RépondreEncore un truc de snob qui va foirer.
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