Et dans laquelle plusieurs élus de gauche évoquent la situation alarmante des familles sans-abris.
Le Journal du Dimanche publie cette tribune qui fait sept propositions pour permettre d’accompagner en France les familles qui n’ont pas de toit et ainsi sortir les enfants de la rue.
Parmi ces élus, on retrouve le maire de Lyon Grégory Doucet et le président de la Métropole de Lyon Bruno Bernard. Le duo écologiste signe cette lettre aux côtés d’Anne Hidalgo (Paris), Martine Aubry (Lille), Eric Piolle (Grenoble) ou encore Johanna Rolland (Nantes).
"Des solutions existent pour prévenir les spirales de précarité dont personne ne peut s’extraire sans main tendue. Nous refusons la mise en concurrence entre les différents publics en situation de grande exclusion et alertons sur l’urgence à développer les moyens sur tous les registres : la prévention des situations de grande exclusion, l’intervention rapide quand ces dernières n’ont pu être évitées, l’insertion durable des personnes", écrivent-ils à destination du Président de la République.
Leur première proposition consiste à "généraliser à l’ensemble du territoire national le décompte annuel du nombre de personnes contraintes de dormir à la rue ou développer toute autre méthode permettant d’établir un diagnostic objectif des besoins d’hébergement". Les élus estiment qu’il est temps de faire une loi qui programmera et planifiera les places d’hébergement et de "lever les freins financiers à la production de logement abordable et de logement social".
Grégory Doucet et Bruno Bernard réclament également un plan d’urgence pour que soient pris en charge les enfants et leurs familles sans solution, "plus aucun enfant ne doit s’inquiéter de savoir s’il dormira à la rue le soir même".
Enfin, ils appellent de leurs voeux à "la régularisation des personnes durablement installées sur le territoire national en simplifiant, accélérant et élargissant les critères d’accès au droit au séjour".
Cette lettre intervient quelques jours après la présentation du dernier rapport de la Fondation Abbé Pierre qui annonçait que 330 000 personnes étaient aujourd’hui sans domicile en France. Soit 30 000 de plus qu’en 2021. Et que 4,5 millions de personnes étaient considérées comme étant mal-logées.
A Lyon, le maire EELV bataille avec sa propre promesse de ne laisser aucun enfant dormir à la rue. Promesse qu'il n'arrive pas à tenir malgré la réquisition d'écoles par des parents d'élèves et de gymnases par la municipalité.
ils anticipent 2026 quand ils seront tous deux sans abris ?
Signaler Répondren 'oublions pas l envolée des prix de l énergie à cause des décisions délirantes de l Europe qui nous impose de nous revendre a nous même la production de nos centrales 5 fois leur prix.ajoutons les entreprises qui ferment pour les mêmes raisons. les impayés vont se multiplier et il va y avoir beaucoup de monde sans abri. ma famille d entrepreneurs lyonnais s est retrouvée à la rue en 1929 après avoir payé leurs ouvriers en vendant leurs biens. le petit banquier que certains ont élu distribue des chèques aux électeurs au lieu de s attaquer à la source des problèmes économiques....
Signaler Répondrepourquoi laisser les SDF dehors dans les rue et avec les tentes sous perrache et gerland pour les sdf et pendant ce temps les etranger et migrants ont droit a etre loger dans des hotels sur lyon et villefranche
Signaler RépondreEn 10 ans, 3 mandats présidentiels + un municipal = declassement national, immigration incontrolée. La métropole n'en est pas exclue. RV place de Milan Sytral/Tcl Lyon 3°!
Signaler RépondreTonton et Tati en première !
Signaler RépondreEncadrement des loyers, taxe foncière augmentée... Que nos élus ne s'étonnent pas si les logements se raréfient dans l'agglomération lyonnaise.
Signaler RépondreCurieusement, ce n'est pas de cette façon qu'on accroît le parc immobilier
Super la photo.
Signaler Répondre2 belles têtes d'illuminés
Il faut bien qu'ils trouvent un moyen d'exister après les déboires de leur sectarisme idéologique.
Signaler RépondreVentres mous et culs de plomb de la gestion métropolitaine et municipale, ils font mines de s'apitoyer sur le sort des sans abris, alors qu'ils ont tous les leviers nécessaires pour faire face à la misère.
Ainsi leur dépit suite au rejet de l'opération téléphérique. Les cabines mobiles ont été conçues pour loger les sans abris suspendus haut au-dessus Lyon.
Signaler Répondre... À la demande expresse de nos amis écolos, dans les années qui suivent, le logement sera régulé de la manière suivante pour pouvoir héberger tous les habitants de la terre en France :
Signaler Répondre- une surface de vie limitée à 15 m2 par personne. Par exemple, un couple et ses deux enfants devra vivre dans 60 m2 maxi.
- toute surface du logement supplémentaire sera réquisitionnée pour y mettre quelques clandestins, hommes de préférence, car ils arrivent en majorité.
- l'occupant initial aura seul la charge de payer le loyer ou rembourser le prêt puisque le clandestin ne travaille pas. Il devra aussi subvenir à tous les autres besoins vitaux et de confort de ses envahisseurs au nom de la tradition d'accueil de la France et du "vivre ensemble".
- l'occupant en titre n'aura pas le droit de choisir ses colocataires. Il lui sera imposé des hommes, surtout s'il a des filles d'au moins 12 ans qui assureront ainsi la créolisation de notre pays chère à Mélenchon.
- si le logement ne peut pas être partagé, car déjà trop juste, l'occupant en titre devra payer une taxe dont le montant correspond à l'entretien annuel d'un clandestin.
- tout jardin de maison devra recevoir caravanes, bungalows et tentes à concurrence des surfaces allouées en appartement, ces équipements seront bien sûr, fournis par l'occupant en titre et l'entretien des clandestins assuré par ce même occupant en titre.
- toutes les terres agricoles seront rendues constructibles. La fourniture alimentaire du pays sera assurée par l'importation de produits venant de Chine, d' Amérique, de Russie ou autres pays producteurs industriels sans normes.
Assumez Messieurs ,vos belles idées et n'en rendez pas responsables les autres !
Signaler RépondreOn se le demande ????
Signaler RépondreRéfugiès aujourd'hui, électeurs demain...
Signaler RépondreTiens? Ils commencent tout juste à s'intéresser à leurs contemporains? Quel retournement étrange, juste après le sondage concernant GD.
Signaler RépondrePREMIERE QUESTION
Signaler Répondred'ou viennent ces SDF ?
Ben alors, les écolos les accueillent à bras ouverts et après demandent au gouvernement de s'en occuper ?
Signaler RépondreLeur cerveau n'arrive toujours pas à comprendre le mot anticipation...
Pas de place d'hébergement, pas d'accueil, ou pas de bras pas de chocolat ;-)
Ou alors ils se f....... de la g...... du monde ?
ce problème a une solution : virer les clandestins et les OQTF —ça fera des logements disponibles -/ ai je tort ??
Signaler RépondreCertes, mais les élus locaux te répondront que (l'absence de) politique migratoire n'est pas de leur fait et qu'ils doivent composer avec une situation qui s'imposent à eux.
Signaler RépondreCe qui m'intrigue, c'est ce qui se passera dans quelques années, quand toutes les possibilités d'hébergement auront été exploitées et qu'il faudra bien se rendre à l'évidence que de laisser tout un chacun s'installer en france au nom de l'humanisme n'est pas une solution réaliste.
On s'amusera de voir que la calculatrice, qui fonctionne si bien pour justifier la réforme des retraites, reste soigneusement dans le tiroir face à ce genre de problème.
Évidemment, faites entrer 1 million de migrants de plus et il manquera 1 million de logements de plus ! régularisés ou pas migrants ou pas on voit qu'ils ne sont que l’enjeu électoral du sieur Doucet qui en appelle à Macron seulement l'emmerd....!
Signaler RépondreEELV a son Machiavel humanitariste
notre fric ils l'utilisent pour des pistes cyclables inclusive non genrées et le social c est pour les copains - quand on voit son adjointe dont ça devrait être une des priorités ne pas savoir rédiger un bail, les sans abris ne sont pas prêt d avoir un toit / des bouffons des charlots
Signaler RépondreIls sont comiques.
Signaler RépondreIls sont à la tête d’un immobilier de dingue avec de nombreux logements vides!!!
Ils pourraient pas s’en occuper par eux mêmes ?
Ce sont des élus avec d’énormes moyens ( notre fric).
Au lieu de laisser pousser des tendres au beau milieu du parc de la montée de La Croix Rousse !
Juste du cinéma et on nous prend pour des Cons !