C’est une première en Europe, la loi permettra aux femmes souffrant de règles douloureuses d’obtenir un arrêt maladie de leur médecin traitant. Et elle a été beaucoup débattue de l’autre côté des Pyrénées, avec des critiques sur les éventuelles conséquences négatives sur le marché du travail pour les femmes.
Futurs discrimination et frein à l’embauche ce congé menstruel ? Pas du tout selon Marie-Charlotte Garin. La députée EELV de la 3e circonscription de Lyon a entamé un travail avec ses collègues parlementaires Sandrine Rousseau et Sébastien Peytavie pour proposer d’ici quelques semaines une proposition de loi similaire en France.
Ce travail comprend pour le moment une prise de température auprès des syndicats et associations féministes.
Sébastien Peytavie (Génération.s) a tout de même pris les devants en annonçant mettre en place le congé menstruel pour ses collaboratrices parlementaires à compter du 1er mars.
Selon RMC, Marie-Charlotte Garin et Sandrine Rousseau pourraient faire de même. Elles tenteraient également de convaincre EELV d’instaurer le congé menstruel au sein du groupe à l’Assemblée nationale, dans le but de faire des émules et convaincre les députés avant même la date du vote.
C’est une bonne idée, ça évitera de travailler avec des personnes de mauvaise humeur…
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