Mediapart et RMC Sport ont révélé une ambiance de travail délétère au sein de la FFT dirigée par le lyonnais Gilles Moretton, accusé de "tsunami social" et d'avoir instauré une "république de la terreur".
De quoi pousser le dirigeant à démentir formellement ces accusations, dans une lettre adressée ce mardi aux membres du Conseil Supérieur du Tennis : "Ces accusations traduisent une profonde méconnaissance non seulement des faits, mais aussi de la manière dont fonctionne la FFT, et une volonté de nuire à notre Fédération. Je tiens à le réaffirmer avec force : notre organisation agit, en toutes circonstances, dans le respect total de la loi et du droit du travail, dans le respect des personnes et en cohérence avec les valeurs du sport, qui nous sont chères. J'assume être un président exigeant. Je l'ai souvent dit : la bienveillance n'exclut ni l'exigence, ni la rigueur".
De nombreux témoignages anonymes décrivent une ambiance "toxique" et un "malaise permanent". Entre 112 et 130 départs auraient été constatés depuis l'arrivée de Gilles Moretton. Ce dernier a assuré avoir lancé une contre-enquête : "Après avoir procédé à l'audition de toutes les personnes concernées par les faits allégués, les enquêteurs ont rendu le 23 février des conclusions sans ambiguïté, réfutant les accusations formulées. Si le style de management est franc et direct, et basé sur la culture du feedback, aucune situation de harcèlement moral, aucune atteinte au droit des personnes, à leur santé et sécurité physique et mentale n'a été mise au jour par les enquêteurs envers les salariés ayant alerté le CSE, ni plus généralement envers les salariés de la FFT".
"En l'absence de toute substance, je suis réellement confiant sur le fait que nous pourrons bientôt tourner la page de ces soi-disant « scandales » créés de toutes pièces par quelques-uns en mal de politique et de sensationnel faisant un amalgame avec d'autres fédérations sportives", conclut Gilles Moretton.
Moretti, déjà la "vieille génération " ! Aujourd'hui, surtout ne pas trop en demander mais revendiquer droit à la paresse et l'inclusivité
Signaler Répondre"FEEDBACK " ? kesako ?
Signaler RépondreUn seul mandat unique et non renouvelable et ceci pour tous les élus de toutes instances.
Signaler RépondreY compris nos très chers Élus Syndicaux de tous bords …. et enfin on n’aura plus les Martinez, Berger, Brun, etc… des élus à vie dans toutes les entreprises qui ne bossent pas et qui profitent du système comme pas permis !!!
Allez tous dans le même sac…
Franchement rien à foutre du tennis les Français sont nuls toujours éliminé au 1er tour
Signaler RépondreNos députés de tous bord , sont normalement là pour cela, faire évoluer les lois de tous les jours, sans être obligés de se battre sur la largeur des bandes du terrain
Signaler RépondreMettre en place des contrôleurs de gestion dans toutes ces fédés,
Pas un mandat unique, trop contraignant, mais 2 mandats de 3 ans max , limiteraient certains abus de pouvoir
Ça semble pas pire que dans les boites où j'ai bossé et dont ça ne fait pas de faits divers... Le vrai problème c'est que dans cette ville il n'y a à la fois plus de syndicat et plus d'inspection du travail pour nous défendre, et après les entreprises vont se plaindre sur bfm business d'avoir à former en continue ou de ne trouver personne...
Signaler RépondreCa leur fait perdre la boule d'être tout en haut de la pyramide
Signaler Répondre112 départs mais ils sont combien à bosser dans cette fédération avec notre argent ??!! A quand une grande Purge dans ce pays corrompu
Signaler RépondreIl est temps que l'État mette fin à ces dérives ; ce n'est pas cela le sport.
Signaler RépondreMais croire que remplacer les hommes résoudra le problème serait faire erreur : il faut des réformes de fond du fonctionnement des fédérations. Et particulièrement, là comme pour les élus, décider le mandat unique non renouvelable.
le sport en France bascule dans le wokisme.....BEUARK
Signaler RépondreDans cette enquête, il semble avoir fait les questions et les réponses
Signaler RépondreAux journalistes d'investigation de faire un vrai reportage
130 départs c'est énorme