Alors qu’une conférence de presse est prévue ce vendredi par la mairie pour présenter les grandes lignes de l’apaisement de la Presqu’île lyonnaise, l’opposition demande son report pour participer au projet.
A l’intérieur de ce grand projet d’apaisement de la Presqu’île se trouve celui de la piétonnisation totale de la rue de la République. Si cette dernière est actuellement interdite aux voitures, les bus et véhicules de livraisons peuvent y circuler. Avec ce projet, les piétons auraient la voie libre pour y circuler.
"Comme de nombreux Lyonnais, nous avons appris votre volonté de piétonniser la rue de la République entre l’Hôtel de ville et la rue Grenette" débute le communiqué de presse commun de Georges Kepenekian président du groupe "Progressistes et Républicains", Yann Cucherat président du groupe "Pour Lyon" et Pierre Oliver président du groupe "Droite, Centre et Indépendants".
Les élus sont donc surpris qu’aucune concertation n’ait eu lieu entre eux et la majorité EELV. "Sur un sujet aussi sensible et aussi structurant, il nous semble pourtant essentiel d’associer l’ensemble des acteurs concernés et pas seulement ceux qui soutiennent cette démarche" expliquent-ils.
Les trois présidents de groupe de droite demandent "de surseoir à la conférence de presse que vous avez planifiée (vendredi) et de nous expliquer de quelle manière vous allez impliquer les collectifs qui vous interpellent, ainsi que l’ensemble des habitants et usagers concernés, dans une démarche plus collaborative et respectueuse de tous".
L'opposition devrait savoir que les Verts ne consultent jamais personne. Depuis qu'ils ont été élus (pour notre malheur!), ils s'imaginent que la ville de Lyon est leur propriété. Ils ont vraiment toutes les audaces! Surtout, qu'ils ne se gênent pas puisque, apparemment, ça marche: "l'opposition" LR est, comme toujours, bien trop molle pour pouvoir contrer ce genre de manoeuvres, d'un cynisme absolu.
Signaler RépondreUne imbécillité notoire des élus " VERTS " que de détourner des lignes de transport en commun vis à vis du Métro. Comme le font remarquer certains commentaires, les trottoirs sont larges et les stations de métro sont bien desservies tout comme les lignes de bus. Faire passer les bus de grande capacité dans les rues, Grenette, E. Herriot, et Paul Chenavard relève d'une idiotie que seuls les " verts " sont capables . Dans ces rues étroites, aux trottoirs exigus, les élus vont implanter des arrêts sur ces mêmes trottoirs, alors que les usagers sont nombreux à utiliser les lignes de bus. Ne vous trompez pas, DOUCET avec son pote BERNARD, veulent piétonniser la presqu'île, en repoussant la circulation des bus avec la circulation générale. A un moment ou un autre, l'engorgement sera tel, qu'ils arriveront à leurs fins. Si les " verts " pensent que leur bordel va influencer les usagers à prendre les transports en commun, je pense qu'ils se trompent, en rallongeant le temps de trajet des usagers.
Signaler RépondreEst ce que les élus écolos prennent les transports en commun ? Déplacer les arrêts de bus rue E.Herriot alors que la sortie de métro est rue de la Ré est un non sens. Piétonniser une rue où les trottoirs sont déjà très larges, pour quoi faire ? A part gaspiller nos impôts et rallonger le temps de trajet des usagers des TCL...
Signaler RépondreHélas vrai!
Signaler RépondreLe terme piétonisation est complétement faux! Ce n'est pas de la piétonisation qu'ils font puisque les trottinettes et vélo pourront toujours circuler dessus. Et ce ne sont pas des piétons!
Signaler RépondreIls veulent juste faire chier les automobilistes et aussi gâcher l'argent public
Il faut bien mourir un jour alors jouissons au maximum, pas la peine d'avoir l'allure famélique des écologistes, mangeons de la viande , roulons en voiture diesel, vivons si la fin est proche, la planète nous en sera gré et s'en remettra
Signaler RépondreBah oui, a nous seuls les français on va sauver le monde, le monde entier sait que nous sommes les meilleurs, les plus forts, les plus intelligents, la preuve notre pays va super bien a tt les niveaux 😁
Signaler RépondrePour mémoire, "l'opposition" marchait main dans la main avec les écolo' sous Collomb, et la volonté de pourrissement de la circulation dans Lyon date bien de Collomb, avec un tramway tortillard en plein centre ville, là il y a déjà le métro, et des goulots d'étranglement aux entrées de l'agglomération.
Signaler RépondreIl s'agit bien plus d'une querelle de personnes et d'ambitions que de réelles divergences idéologiques.
Si la planète crève, on crève tous !!!
Signaler RépondrePourquoi discuter ?
Signaler RépondreLes ecolos ont toujours raison
Les autres ne sont que des cons qui ne savent rien.
C'est la méthode du khmaire, et encore pour le moment l'opposition a encore le droit d'exister, sinon ils seraient déjà tous internés en camps de rééducation
Signaler Répondreles écologistes demandent rien à personne .. décident de tout.. tout seul ... par contre au conseil régional.. ils veulent participer à toutes les consultations, veulent l'agenda de WAUQUIEZ... 2 poids ..2 mesures..
Signaler RépondreComme d'habitude, ils font n'importe quoi, ce qu'ils veulent et quand ils veulent au nom de la planète mais pas des habitants...
Signaler RépondreLa démocratie, leurs cerveaux (ce qu'il en reste) n'ont pas réussi à enregistrer la signification.
Avec eux on peut tous crever tant que la planète va mieux.
De toute façon concertation ou pas y ont décidé de faire chier les véhicules
Signaler RépondreQuand les ecolos parlent de dénis de démocratie et de tromperie 😂
Signaler Répondre« "Le projet de Mme Pouzergue et de M. Moroge n’a jamais été à l’ordre du jour de quelconques discussions avec les conseillers municipaux et encore moins avec les populations. Pourtant, s’il y a des décisions qui changent la vie des habitants, en voilà bien une ! Aucun projet de cet ordre ne devrait être adopté sans la consultation des habitants. Les maires n’ont pas été élus avec cette intention dans leurs programmes. Cela relève de la tromperie et du déni de démocratie", dénonce-t-il.«
https://www.lyonmag.com/article/128602/fusion-oullins-pierre-benite-les-ecologistes-furieux-reclament-un-referendum