Ce mardi, le tribunal judiciaire de Lyon a donné raison à deux personnes qui squattaient un immeuble de la rue des Tuileries dans le 9e arrondissement.
Les squatteurs avaient attaqué le propriétaire des lieux, la SNC "La Belle et le Clochard" dont la présidente Anne Gagneux, femme de Nicolas Gagneux (6e Sens Immobilier) et fille de Didier Caudard-Breille (DCB) pensait probablement avoir déjà tout vu en matière d'immobilier.
Les occupants illégaux des lieux s'étaient émus d'avoir découvert, le 23 janvier dernier, que les serrures avaient été changées en leur absence et que des agents de sécurité avaient été dépêchés sur place pour les empêcher d’y retourner. La justice a considéré que cela s'apparentait à une expulsion avant la date fixée par les tribunaux, à savoir le 31 mars qui devait sonner la fin du squat.
Les juges lyonnais ont estimé que le propriétaire devait être condamné à verser aux plaignants 2000 euros de dommages et intérêts. Ainsi que 1000 euros au titre de l’aide juridictionnelle.
Le tribunal a toutefois refusé la requête supplémentaire des jeunes squatteurs, une professeur des écoles et un serrurier, qui exigeaient qu’on leur accorde le droit de se réinstaller dans l’immeuble abandonné.
De son côté, la SNC "La Belle et le Clochard" a été débouté de ses demandes. Elle réclamait la condamnation des squatteurs pour procédure abusive ainsi que la remise en état de l’immeuble saccagé avec des tags et des murs porteurs détruits. La note de 500 000 euros a été retoquée par le tribunal judiciaire.
Le squat de la rue des Tuileries ne sera bientôt plus qu’une histoire ancienne puisque 6e Sens Immobilier doit le démolir pour y construire un projet immobilier.
malgre quelques peripeties y seront vires à la fin!!
Signaler RépondreBRAVO la justice!!!!!!!!!!! on n'est mème plus en possession de ses biens!!!!!!!!!!!!!!
Signaler RépondreIl faut donc se faire justice soi-même...
Signaler Répondreon est dans de "beaux draps"
Signaler RépondreA bien fait : vous avez des arguments solides, dites nous où est votre bien afin que ; cette professeure des écoles et ce serrurier, puissent continuer leur thèse d'appropriation du bien d'autrui. J'espère que vous avez aussi un aïeul qui sera empêché par des "gentils" de vendre son modeste bien afin de payer sa résidence en EPHAD. Si vous avez des dons pour jouer du tambour dans une batterie fanfare, vous avez certainement un soupçon de talent dans le "résonnement du tambour".
Signaler RépondreOn marche sur la tête
Signaler Répondrec est vraiment la crise!!
Signaler RépondreLa protection des locataires est hors norme en france.on ne reconnaît plus les biens privés .
Signaler RépondreDans deux les gangs régleront les litiges .
Aucune illusion possible .
ensuite on s'étonne que ce pays ne fonctionne pas,pauvre France.
Signaler RépondreCheh ! Ça leur apprendra à vouloir se faire justice eux-mêmes, ces proprios véreux.
Signaler RépondreBon dans tout ça, est-ce que ces squatter paient leur assurance habitation parce que vu les départs d'incendies et négligences...
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