Les lieux étaient donc fermés au public.
Mais ce jeudi matin, après quatre jours d'occupation, ils mettent fin à leur action.
Dans un communiqué, ils expliquent que "les échanges avec la Ville ces dernières heures nous ont réjouis. La banderole sera maintenue sur le fronton du musée et nous engageons dans les semaines à venir un dialogue pour évaluer la possibilité d'une expérimentation de l'assurance-chômage au bénéfice des artistes-auteurices à l'échelle de la Ville de Lyon".
Les occupants du musée des Beaux-Arts pensent par ailleurs que leur place est ce jeudi aux côtés de leurs "camarades exploités" lors de la manifestation entre la Manufacture des Tabacs et la place Bellecour.
"C'est tous ensemble que nous irons chercher la victoire face à ce gouvernement. S'il s'entête, nous n'hésiterons pas à reprendre les occupations, à étendre et poursuivre la grève, à multiplier les actions", conclut le communiqué.
Le musée des Beaux-Arts de Lyon rouvrira ses portes au public ce vendredi.
bobbards
Signaler RépondreEt une liasse de billets par là.
Signaler RépondreEt le pire c'est qu'ils se croient intelligents et légitimes !
Signaler RépondreLes glandeurs professionnels
Signaler RépondreAh ces chers intermittents du spectacle qui ne servent qu'à divertir ces bourgeois
Signaler RépondreIl est hors de question que nos impôts locaux financent une quelconque nouvelle indemnité chômage locale pour une frange de la population.
Signaler RépondreSinon nous aussi nous occuperons le musée des beaux arts pour obtenir la même chose et la baisse de la taxe foncière.
"Artistes-auteurices": ça sent à plein nez la prose des incapables verts de la mairie qui se rendent coupables de néologismes douteux. Quant à la poursuite de la grève, avant de la décider, il faudrait peut-être avoir un boulot. Encore une revendication à des allocations destinées à des parasites qui cherchent à vivre sans se fatiguer.
Signaler RépondreÇa se plaint, ça gémit, toujours en train de demander des indemnités, commencez à bosser ! Notre secteur de la culture est gangrené par l’extrême gauche!
Signaler RépondreLe personnel n’as jamais soutenu cette occupation. L’ensemble du personnel n’attendait qu’une chose : les foutre dehors. Et ce surtout après les insultes proférées par ces marginaux à l’encontre du personnel qui faisait tout pour protéger les œuvres contre des gens qui n’en avait cure.
Signaler RépondreC’est la mairie qui a refusé leur expulsion contre l’avis du personnel et de la police !
Avant de déblatérer n’importe quoi selon les élucubrations de votre imaginaire, renseignez-vous !
Ils ont passé leur temps à inviter le tout venant des marginaux dans le lieu d’occupation par les portes fenêtres. Dans quel état auront ils laissé la salle de la rue Chenavard ?
Signaler RépondreAprès avoir insulté copieusement le personnel du musée qui essayait tant bien que mal de protéger les œuvres des artistes du passé lors de leur cavalcade, il n’y à donc rien à attendre de bon de ces gens là.
Bien évidemment la remise en état sera aux frais du budget de fonctionnement du musée, que la mairie n’augmentera pas malgré le soutien par les communiqués officiels de cette mairie à ces vas nus pieds.
Il y a des associations et des lieux appropriés pour s’occuper d’eux !
À moins que la mairie ait décidé de transformer le palais Saint Pierre en hôtel gratis pour tous les punks à chiens en mal de reconnaissance…
" Les artistes-auteurices" : Réapprenez les bases de notre langue française et arrêtez de pourrir cette dernière ! Le Musée des beaux-arts , son personnel et son directeur devraient avoir honte de laisser ces soi-disant" artistes" occuper en toute illégalité un tel bâtiment public et priver les Lyonnais et les touristes de visites !
Signaler RépondreQuelle bande d’opportunistes à l’intelligence limitée.
Signaler RépondreDes chômeurs incultes vu le communiqué truffé de fautes et d'incohérences.
Signaler RépondreJ'imagine que le pot de départ sera financé par la ville... Champagne 🥂🍾 pour les gueux !
"occupé par un groupe d'artistes opposés à la réforme des retraites"
Signaler RépondreCes chomeurs en puissance sous perfusion des aides de l'Etat arrivent quand même à avoir l'outrecuidance de râler sur l'âge de départ à la retraite alors qu'ils ne travaillent pas et ne connaissent rien de la pénibilité.....
chomeur
Signaler RépondreT’as déjà fait grève une fois dans ta vie ?
Signaler RépondreT’as jamais eu envie d’étrangler ton patron ?
Surtout presser de toucher un salaire complet !!!!
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