Ce sont les résultats d’un rapport de l’observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT) publié ce lundi. Ainsi, en 2010, seulement 1,2 passage aux urgences sur 100 000 concernait la consommation de cocaïne dans la région. Douze ans plus tard, ce chiffre a nettement explosé pour atteindre 22,9 passages sur 100 00 soit une multiplication par 19 du nombre d’arrivées aux urgences.
Majoritairement, cela concerne des intoxications (65% des cas), une dépendance (13%) ou un sevrage (7,5%). Pour faire le portrait-robot du consommateur, il s’agit d’un homme (75% des cas) âgé de 32 ans en moyenne.
Mais cette augmentation de consommation n’est pas un phénomène local puisque cette hausse est nettement visible dans toutes les régions de France. Ainsi en Bretagne, les taux de passages sont passés de 4,3 à 34,4 ; en Nouvelle-Aquitaine ils ont grimpé de 3 à 20,6 et dans le Grand-Est ils sont de 19,9 tandis qu’ils n’étaient que de 8,7 en 2010.
D’après l’OFDT, ces chiffres peuvent s’expliquer par la circulation depuis une dizaine d’années d’une cocaïne dont la teneur en principe actif augmente ou encore l’émergence des nouveaux produits de synthèse plus puissants et toxiques. De plus, la consommation de cocaïne mêlée avec l’alcool augmente la durée et la puissance des effets psychoactifs ainsi que la toxicité cardiaque.
C’est des méchaaaaants papys boomers qui se font des lignes ! Les fourbes avec leurs déambulateurs polluants… Les vieux sont tous des fascistes !
Signaler RépondreSauf pépé et mémé. Merci pour le chèque.
Ouais enfin bon… Un con reste un con même avec de la coke. Ça fait juste un con arrogant. Et ça c’est vrai que ça prolifère.
Signaler RépondreAvec la copine on partage la.... !
Signaler RépondrePerformance, Productivité, Efficacité, Énergie... comme des hamsters dans leur roue. Pauvre France.
Signaler RépondreCette consommation de cocaïne s'est généralisée depuis une bonne dizaine d'années, en soirée festive dans toutes communautés, au travail, chez les dirigeants d'entreprises, cadres, finance, pharmacie aussi....
Signaler RépondreL'attention a été détournée par la chasse au cannabis ( un poison aussi) depuis quelques années, la cocaïne a envahi tous les milieux sociaux et provoque d'énormes dégâts sur ces consommateurs à court, moyen et long terme. C'est un business qui profite à un panel bien large.
Il est temps de regarder les choses en face et d'agir. Ça fait des années que je dénonce cela.
Incroyable des gens qui consomment ça juste pour retrouver confiance et pseudo toute puissance.
Il est temps de dénoncer pour protéger nos enfants.
Il est temps de soigner ces consommateurs, de punir ces trafiquants aux multi profils ( fini le petit dealer de base, l'apparence ne faut plus le moine ! ).
Il est temps que chacun prenne ses responsabilités pour un monde sain. Ça suffit !
Fin du débat !
Ce que vous dites vaut pour la consommation de cocaïne "en poudre" (chlorydryare de cocaïne) mais vous oubliez les autres formes dérivées (crack/"cocaïne base", sulfate de cocaïne/"pâte de cocaine" ) et la population d'addicts n'est alors plus la même du tout, on est loin, très loin "des jeunes adultes et adultes au pouvoir d'achat important résidant dans de beaux quartiers".
Signaler RépondreNos Narcopoliticiens devaient interdire la cocaïne en votant un 49/3 .
Signaler RépondreCe qui serait intéressant, ce serait d'avoir le profil type de ces patients reçus à l'hôpital.
Signaler RépondreJe mets ma main à couper que ce sont des jeunes adultes et adultes au pouvoir d'achat important résidant dans de beaux quartiers.
Une étude montre que les générations y et z sont bien moins consommatrices de ces produits que leurs aînés, les boomers et gen X.
Johnny, Delarue, Palmade, Beigbeder et Ardisson en sont d'ailleurs de bons exemples.
L'offre est pléthorique, et alors ? Donc parce qu'on en trouve de partout, toi tu en consommes ? Pas moi. Mais bon, c'est affaire de volonté, toi et moi n'avons pas la même...
Signaler RépondreVu le nombre de ------ qui vendent du chichon, l'offre est devenue pléthorique, donc certains cherchent plus rare ( le goût de l'aventure ?? ), il est donc normal ( sic ) d'aller vers la farine qui devient plus répandue et donc moins chère. Et dire que nos pastèques veulent légaliser le chichon.
Signaler RépondreQuelle sera la prochaine étape ?
Quand on voit les problèmes , et le mot est faible, qu'ont causé les salles de shoot à Paris.
cocaine ,c est ma copine
Signaler Répondrecocaine ,on est voisines!
ha bon..........c etait becassine?