Enrayer un déclin inquiétant. C’est la volonté de la Métropole de Lyon, qui adopte un plan de sauvegarde des hirondelles et des martinets, suite au conseil métropolitain de ce lundi. En partenariat avec la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux), ce plan a pour but de contenir le déclin de ces espèces. Bien que protégées, elles pâtissent de la disparition des insectes, de l’usage des pesticides et de nouvelles constructions rendant impossible leur nidification.
Pour cela, le plan prévoit plus de recherches, des actions de sensibilisation afin de mieux connaître ces espèces qui occupent l’espace urbain. Plus concrètement, des colonies prévoient d’être conservées, restaurées voire construites, notamment sur les berges du Rhône. Des nichoirs seront également créés. Certains de ces aménagements ont déjà commencé, courant mars.
Le coût de ce plan de sauvegarde est estimé à 120 000 euros sur quatre ans, selon la Métropole de Lyon. Concernant la mise en place de ce plan, Pierre Athanaze déclare qu’il doit "mettre fin à la tendance inquiétante de déclin des espèces d’hirondelles et de martinets. Son élaboration concertée a déjà permis une meilleure sensibilisation de certains publics", assure le Vice-président délégué à l’environnement, la protection animale et la prévention des risques.
Une initiative pour lutter contre un déclin qui ne date pas d’hier. En 30 ans, les estimations affirment les pertes de 30% des hirondelles et de 48% des martinets, sur la région Auvergne-Rhône-Alpes. Des tendances similaires sur la Métropole lyonnaise, qui tentent à tout prix d’être maîtrisées par les écologistes.
oui à la protection des martinets!
Signaler RépondreSauf que ce n'est pas le cas, nous touchons à tout. Donc quitte à modifier l'environnement, autant que ça aide nos amis à plumes. Comme les abris pour chauve-souris remplacent les granges d'antan qui ont quasiment disparu.
Signaler Répondrepour une fois je trouve l'action des verts très honorable, j'applaudis. on aide nos amis à plumes que nous avons par nos extensions chassés des villes et détruit leurs populations.
Signaler RépondreLa nature se débrouille beaucoup mieux quand l'homme ne touche à rien!
Signaler RépondreOn préfère préserver les hirondelles et martinets plutôt que des espèces dans ton genre
Signaler RépondreA la Métropole c'est comme chez TF1, au lieu de s'inquiéter d'une cantine qui brûle, ils préfèrent nous parler de leurs singes et des égouts de Vendée...
Signaler RépondreIl y a quelque chose qui pourrait ètre fait, à moindre cout : la falaise écroulée en bord de Saone en allant sur Albigny, on pourrait la percer de petites niches pour ces oiseaux, ainsi que des guépiers, etc. Y'a de la place pour des centaines de nids.
Signaler RépondreCela fait plus de 30 ans que les hirondelles se font décimer par les pesticides (qui a encore parlé de des néonicotinoïdes qui tuent les abeilles Et les Hirondelles et les ... et les ?)
Signaler RépondreAlors pour la ville , remettez de l eau et des flaques a moustiques et autres insectes : ça ira mieux.
Pour la campagne : Heu ...non rien .
Ton Santos
Décidément les élus verts (plus que 4 ans…) sont comme les hirondelles qu ils veulent préserver ….perchés
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