La société villeurbannaise, spécialisée dans les navettes électriques autonomes, a vu son redressement judiciaire se transformer en liquidation par le tribunal de commerce de Lyon.
Car une offre de reprise a été validée, il s'agit de celle portée par le duo formé par le groupe Gaussin et la firme japonaise Macnica.
Ils se sont engagés à reprendre 143 salariés sur les 203 que comptait Navya, mais le tribunal de commerce a précisé que depuis le début des déboires de la société cofondée par Bruno Bonnell et Christophe Sapet, plusieurs d'entre eux avaient déjà mis les voiles.
Outre ces propositions fermes de reprise, 21 offres de reclassement seront faites aux salariés restants pour qu'ils intègrent la filiale de Gaussin, Metalliance en Saône-et-Loire.
Que va devenir le projet et la technologie développée à Villeurbanne ? "La société Gaussin a pour ambition de créer un champion international dans le domaine du transport de marchandises autonome et écologique pour les ports, les centres logistiques et les aéroports", détaille le tribunal lyonnais dans son jugement.
C'est donc la fin définitive du petit trajet des navettes autonomes portées par Gérard Collomb à la Confluence et à OL Vallée.
Pour rappel, Navya n'avait jamais réussi à s'imposer sur un marché encore naissant, y compris à l'étranger. Des pertes de 24 millions d'euros en 2020 et 2021 ont été à déplorer, obligeant la société à se déclarer en cessation de paiements puis à réclamer son placement en redressement judiciaire en début d'année 2023.
pour le repreneur qui va faire prosperer le truc!!
Signaler Répondreà qui profite le crime?
Signaler RépondreComme les voitures qui roulent toutes seules, les livraisons de colis voir de personnes par drones, le Métavers, etc
Signaler RépondreLiquidé et repris ?
Signaler RépondreIl faut savoir : ces deux termes s'opposent.
subventions
Signaler Répondreen toc
Signaler RépondreAh la la ! Le green business dans toute sa splendeur !
Signaler RépondreC’était sensé être une pépite révolutionnaire…..
Signaler RépondreTiens tiens, personne n’en a voulu. Quelqu’un aurait menti ?
Tiens encore une faillite avec Bonnel a la barre , mais au fait il est passé ou celui la maintenant , Macron lui avait trouvé un job en traversant la rue pourtant ....
Signaler Répondrede toute façon Bruno Bonnel plante tout ce qu’il fait !
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