Une surveillante scolaire âgée de 22 ans avait entretenu une relation amoureuse et consentie avec un adolescent au sein de l’établissement rhodanien.
Le collégien âgé de 14 ans et la pionne s’étaient plusieurs fois enlacés et embrassés. Si la possibilité d’une relation sexuelle avait été abordée entre les deux tourtereaux, l’adulte avait refusé, sachant parfaitement qu’elle se mettrait dans une situation illégale très importante.
Dénoncée à ses supérieurs par la mère du collégien qui avait retrouvé des lettres enflammées, la surveillante était jugée à Villefranche-sur-Saône cette semaine. Le Progrès raconte qu’elle était fragile psychologiquement et émotionnellement et qu’elle avait trouvé en cet adolescent le confident parfait.
Consciente de son erreur et suivie désormais par une psychologue, la jeune femme a tout de même été condamnée par la justice caladoise.
Elle a écopé de 4 mois de prison avec sursis et a l’interdiction pour les cinq prochaines années d’exercer une activité professionnelle ou de loisirs en lien avec des mineurs. Son inscription au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes (Fijais) avait été réclamée par le parquet, mais les juges en ont décidé autrement.
Heureusement que se n’est pas un Homme qui a une aventure avec une adolescente 😂.
Signaler RépondreIls l’auraient Pendus sur la place Publique !
A 14 ans, j'aurais bien voulu fricoter avec la pionne. Franchement c'est ridicule cette condamnation.
Signaler RépondreCe n'est ni plus ni moins que de la pédophilie, celle ci n'est pas uniquement masculine .
Signaler RépondreExcellente analyse.
Signaler RépondreC'est à la fois curieux et affligeant. À lire certains commentaires, on a l'impression que l'idée même de la nécessité d'une déontologie professionnelle n'a même pas effleuré leurs auteurs, pas davantage que le respect dont, légalement, les mineurs doivent jouir. Le désir, l'envie, la pulsion, le caprice ne justifient pas n'importe quoi ; c'est pourtant une société de la satisfaction sans frein de chaque désir individuel que l 'on nous propose au nom, sans doute, d'une conception corrompue de la liberté. Or, la liberté n'est pas la licence.
Signaler RépondreC'est presque un copié-colé de Manu et Brigitte !
Signaler Répondreah la la !
Signaler Répondrela morale....
14 ans 22ans!
Signaler RépondreLe gamin de 14ans est un enfant.
Que ce soit legal ou moral rien ne vat
la police de la pensée a frappé ? je ne vois pas où est le mal dans la mesure où la relation semble mutuellement consentie. les truands courent mais les amoureux trinquent.
Signaler RépondreQuand tu fais partie des notables et de la classe supérieure à Amiens... là aucun problème... la prof peut se taper un élève, la caste couvre et 24 ans d'écart, ça passe crème.
Signaler RépondreEh ben ! Il vaut mieux passer à tabac un innocent à trois ou quatre contre un, attaquer des mamies ou faire des courses de voiture sur le périphérique. On risque moins.
Signaler Répondreet Brigitte ?
Signaler RépondrePauvre femme on se croirait à l’époque de l’inquisition
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