Tué lors d’une attaque de roquettes à Bakhmout, l’homme de 32 ans avait étudié à l’Institut de la Communication (ICOM) dans l’université. Grâce à un stage pendant ses études, il avait ensuite pu intégrer la rédaction de l’AFP. Dans un communiqué, l’ICOM décrit le journaliste avec beaucoup d’affection : "Les enseignants qui l’ont eu en cours gardent de lui un souvenir d’un garçon extrêmement doué, attachant et chaleureux."
Un groupe de parole au sein de l’établissement pourrait voir le jour pour que chacun puisse exprimer son ressenti sur la disparition d’Arman Soldin. L’Institut de communication conclut en rappelant l’importance des journalistes de guerre : "Parfois au péril de leur vie, [ils] nous donnent accès à l’information nécessaire au fonctionnement de nos démocraties."
Une enquête a été ouverte ce mercredi par le Parquet national antiterroriste pour crime de guerre. Confiée aux gendarmes de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, l’enquête devrait déterminer les circonstances de la mort d’Arman Soldin.
En tout cas, un homme qui aime et réconforte visiblement les petits chats malheureux, ne peut pas être totalement mauvais. Paix à son âme.
Signaler RépondreLe béa-ba du journalisme est de ne pas s’exposer dans des situations dangereuses pour son intégrité physique, mentale ou judiciaire.
Signaler RépondreOn ne va pas en première ligne du front en cas de guerre, on ne consomme pas de drogue dans une soirée de mafieux, on n’accompagne pas un gang qui opère un règlement de compte.
Attendez il va bientôt être remplacé par un dur et vous verrez la différence ! 😆.
Signaler RépondrePuni par stupidité et irresponsabilités d’être au front ukrainien d’une h guerre qui ne nous Concerne PAS , tous simplement. Il a peut-être aussi échappé au Nucléaire contrairement à nous à qui cela pends au bout du nez .
Signaler RépondrePuni par poupou...
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