En début d’année, la Métropole de Lyon a effectué des relevés au niveau du captage de la Garenne à l’Est du territoire. Les premiers relevés se sont révélés particulièrement surprenants avec une grande quantité de substances perfluoroalkylées (PFAS) qui dépasse largement la norme environnementale européenne de 100 nanogrammes par litre, fixée pour 2026, puisque le captage compte 280 ng/l, soit quasiment trois plus que la limite autorisée. En comparaison, le captage de Ternay au sud de Lyon a un taux moyen de 185 ng/l mais n’a fait l’objet d’aucune restriction alors qu’il alimente tout de même une grande partie des villes situées au Sud-Est de la Métropole de Lyon.
Cependant, cela n’affecte en aucun cas la consommation d’eau des communes qui dépendent du captage de la Garenne soit Jonage, Chassieu et Meyzieu puisque ce dernier est fermé depuis 2021 à la suite de la découverte de résidus de pesticide. Pour autant, des relevés ont lieu toutes les deux semaines sur place et tant que la situation ne s’améliore pas, le captage reste fermé.
Malgré tout, il n’y a pour l’heure aucune explication sur l’origine de ces perfluorés et la Métropole de Lyon a commencé à enquêter pour en découvrir plus.
Les perfluorés sont de plus en plus présents dans le Rhône et représentent un vrai danger. Selon une enquête de Forever Pollution Project parue en mars dernier, 35 sites du département sont déjà contaminés et une vingtaine d’autres sont présumés contaminés.
Exactement, et quand on dit aux têtes de mules que la planète et pus qu'en danger,on vous répond que vous êtes climatoceptique ! Et que le covid n'existe pas ou que c'est inventé par les Américains,etc...
Signaler RépondreIls ont le mérite de faire des choses mais clairement pas à l échelle. Le monde capitaliste qui a fait rêver les gens est une catastrophe. Ils nous laisse la planète dans un état épouvantable et accusent les ecolos. Ils voulaient leurs grosse voiture, la piscine, le voyage à l étranger chaque année, la clim.... Leurs égoïsme est la raison de tout nos malheurs. Il est beau le progrès ! Ils ont pratiqué la politique de la terre brûlé et les jeunes vont payer cash ! J aurais honte !
Signaler Répondredes actions chez arkema ?
Signaler RépondreComment manipuler les gens : c'est bel et bien ce que vous faites en prétendant que les perfluorés ne sont rien.
Signaler RépondreDe la même façon, alors que l'amiante était déclaré cancérigène partout dans le monde, en France ça allait bien jusqu'en 1997. Même chose pour le glyphosate, aussi pour le pesticide qui décime les abeilles. On la connaît, votre chanson qui cause des millions de morts par cancer.
Allons !
En tant que complotiste du dimanche, ne devriez-vous pas considérer que les études scientifiques qui ont abouti au classement des substances cancérogènes ont été réalisées par des groupes de la mouvance extrême gauche écologiste ?
Signaler RépondrePeut-on vraiment faire confiance à l'OMS?
Etes-vous certain que le cancer n'est pas une invention des lobbys pharmaceutiques pour nous vendre des produits de chimiothérapie.
Au plaisir de ne plus vous lire
C'est pas grave : les bouffons verts vont nous créer quelques nouvelles pistes cyclables et mettre 5-6 rues en sens unique et on sera sauvés !
Signaler RépondrePour info, l’un des PFAS, le PFOA, est classé par le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer) dans le groupe 2B des «substances peut-être cancérogènes pour l’homme».
Signaler RépondreVous demandez qui sait ? Les scientifiques. On interdit pas pour rien en France et les seuils ne sont pas fixes au doigt levé ! Quelle contradiction avez vous à donner ? Vous savez plus que les scientifiques ? Ne reprochez pas au ecolos d alerté depuis des années. Ils ont fait qu une seule erreur. Ils sont trop gentils !
Signaler RépondreUn immense bravo ! enfin quelqu'un de lucide !!!
Signaler RépondreEt au fait, elle vient quand cette sècheresse ?
"et ta soeur" me semble la seule réaction possible à votre commentaire
Signaler Répondrec'est pas l'eau qui fait peur c'est les ecolos
Signaler RépondreLes PFAS sont appellés polluants éternels car ils sont très stables chimiquement. Non seulement ils s'accumulent dans l'environnement, mais ils sont aussibio-accumulants. Donc au fil des décennies, on ne parle plus de nanogrammes dans le corps, mais de microgrammes!
Signaler RépondreCet article fait parti d'une campagne réfléchie conçue et publiée politiquement par des groupes de la mouvance extrême gauche écologiste.
Signaler RépondreL'objectif est toujours le même : faire peur.
Mais peur de quoi au juste ?
Qui sait ce que sont les PFAS (des dizaines de milliers de produits en dependent, des câbles, des éoliennes, des trains, des vélos, de tous les appareils contenant un composant électronique, des appareils des hôpitaux, et aussi des prothèses, notamment cardiaques contiennent des pfas par milliards de ng)
Qui sait ce que représente 1 ng/l ? 1 milliardième de gramme par litre. 0,000000001 gramme pour 1000 grammes d'eau. Donc 1 picogramme par gramme d'eau, 10^-12...
C'est au delà de l'insignifiance parceque des milliers d'autres molécules vraiment dangereuses pour l'homme sont présentes en bien plus grande quantité dans ces prélèvements. A noter que la technique de prélèvement doit être extrêmement rigoureuse car à des niveaux de concentration si faibles, il est très facile de polluer les prélèvements.
Quelles sont les autres produits chimiques, en particulier cancérigènes certains (ce que n'est pas le PFAS) , présents dans cette eau ?
En quelle quantité trouve t-on ces cancérigènes certains par rapport aux PFAS ? 1000 fois , 10 000 fois plus que les PFAS ?
Voilà des données qu'il faut exiger pour bien comprendre de quoi on parle et surtout quantifier le niveau de risque réel. Ce données dégonfleraient comme un ballon de baudruche tous les articles voulus et conçus à des fins politiciennes par les extrémistes les plus dangereux pour la France dans les années avenir : les extrémistes écologistes.
Mais la presse, les médias privés sont les relais les plus actifs. Et dans la majorité des cas, les auteurs n'ont pas les connaissances pour déceler les arnaques de ces communiqués d'associations vertes qui toutes expliquent ne veuloir que votre bien...
Quid de l'agriculture qui arrose avec cette eau ? Et qui vend ensuite ça aux habitants ?
Signaler RépondreAux années 80/90 il y avait une usine de traitements de déchets (Plafora puis Tredi) sur le site de Saint Vulbas dans la plaine de l'Ain
Signaler RépondreElle devait détruire normalement des produits très dangereux provenant de sites chimiques , par incinération
Ce site n'était pas des plus rigoureux et sérieux , de nombreux incidents déclarés ou pas s'y sont produits
La nappe phréatique concernée à du en subir les conséquences
Vous osez faire croire que c'est uniquement une pollution passée alors que les usines continuent à en produire avec l'accord de la préfécture ?
Signaler Répondre"les écolos sont méchants, sont des dictateurs, et blablabla".
La réalité est que les dictateurs sont les polleurs, et la pollution tue, réellement, pas en "fantasmes".
Il y a trop de pognon en jeu pour les entreprises qui déversent des cochonneries, l'état les soutien, même les trouillards d'écolos ne font rien en toute connaissance de cause...
Signaler RépondreLe passé n est pas du passé comme vous dite. Regardez les articles d il y a deux semaines ou les inspections d industriels a mis en avant que l irrégularités été finalement la norme. Pas vu pas pris. Et si on est pris on accusera les anciens.... La générations des boomers nous causes des problèmes insolvables car ils voulaient faire comme nos voisins américains. Egoisme et consommation sont là norme. On veux une grosse voiture, une piscine perso, des volets et un portail motorisé, une clim... On voit maintenant le résultat. Il est beau le progrès....
Signaler RépondreSuivant votre théorie, il est donc bon de laisser tomber les contrôles...
Signaler RépondreLa pollution aux perfluorés date des années antérieures.
Signaler RépondreC'est l'absence d'analyse par le passé et les méthodes actuelles plus performantes et indépendantes qui enfin expose le problème au grand jour.
C'était il y a 20ans qu'il fallait investiguer et sévir, maintenant le mal est fait.
"il n’y a pour l’heure aucune explication sur l’origine de ces perfluorés"
Signaler RépondreEh bien voyons ! Ça doit être de la génération spontanée n'est-ce pas.
Si les services de l'État étaient encore en état de fonctionner avec des inspecteurs du travail, des services vétérinaires, de la répression des fraudes, de divers contrôles en nombre correspondant aux besoins, on n'en serait pas à se poser ce genre de question sans réponse alors qu'il s'agit de la sécurité des citoyens.
Pauvre France cassée par les néo-libéraux.
j'aime bien le "présumé contaminé" à l'heure actuelle on ne vit que d'hypothèses !!!!!
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